Je le conseillerai pour ma partKoïnsky a écrit :Tu conseillerais le bouquin, Beorn ?
Un mérite indéniable : il pousse à s'interroger.
Je le conseillerai pour ma partKoïnsky a écrit :Tu conseillerais le bouquin, Beorn ?
Oui, je dirais que c'est une extension du concept. La métaphore de "organique" utilisé par Truby est assez bien trouvée. Elle mêle les notions de liens et de dynamisme (et ça mériterait presque un fil en complément de celui-ci).Koïnsky a écrit :Arnaldus, c'est intéressant que Truby parle de maximiser les liens entre éléments du récit. Ca me fait penser à certains concepts du Lavandier, comme le milking (en gros, tirer le maximum des éléments déjà introduits dans le récit et des liens qui existent entre eux) ou la préparation/paiement.
Ce serait topissime (et j'utilise rarement ce mot) !Beorn a écrit :Oui, je vais essayer d'évoquer les différents concepts évoqués par Truby (du moins ceux qui m'ont marqués) un fil après l'autre, mais ils vont nécessairement se mélanger un peu.
C'est tout moi !Elikya a écrit :Une grenouille en peluche rouge, ça doit être mignon...
Moi euh... Attends je réfléchis.Silène a écrit :On pourrait le teindre, non ? Si vous le souhaitez, on peut faire un référendum "Pour teindre Beorn, oui ou non."
Oui, les phobies de l'auteur transparaissent dans ses écrits, c'est d'ailleurs parfois effrayant...Silène a écrit :Pour cette histoire de lieu confiné, je me dis en vous lisant que cela peut aussi dépendre de la phobie de l'auteur, s'il est claustrophobe, Alien est au top du lieu anxiogène. S'il est agoraphobe, ce sera la foule "emprisonnante". S'il a le vertige, ça peut être sur une passerelle. En tout cas, il me semble qu'il peut y avoir dans ce choix des traits propres aux angoisses de l'auteur aussi, ce qui lui paraît le plus inquiétant, le plus terrible.
Je vote oui, sans la moindre hésitation.Silène a écrit :Si vous le souhaitez, on peut faire un référendum "Pour teindre Beorn, oui ou non."
Je ne vous le fais pas dire, parfois l'écriture joue un rôle de catharsis étonnant. Et pour ma part, je m'appuies sur mes peurs pour décrire celles de mes personnages. J'espère ainsi que leurs sensations et ce qui leur traverse l'esprit sonnera juste, même si je l'adapte bien sûr à leur caractère et à leur cas personnel.Oui, les phobies de l'auteur transparaissent dans ses écrits, c'est d'ailleurs parfois effrayant...
(C'est complétement hors-sujet, mais dans mes souvenirs l'avion a une mitraillette, non ?... ou alors peut-être que je confonds avec Die Hard )Beorn a écrit : Bon, mais pour vous dire la vérité, je n'ai jamais trouvé cette scène vraiment effrayante. Je n'arrive pas à croire qu'un avion puisse réellement écraser un homme qui se couche par terre (donc pour moi, l'échappatoire existe : il suffit de s'allonger. Du coup je n'ai pas peur, mais apparemment, peu de gens ont cette impression en voyant la scène... tant mieux pour Hitchcock).