D'accord, cette fois, j'ai compris ton problème. Par contre, je ne vois pas vraiment de solution...Ayaquina a écrit :Si si, c'est moi qui me suis mal exprimée dès le début. Je suis si engluée dans le problème, que j'avais du mal à vous dire que le cadre de mon roman est léger et divertissant mais inscrit dans la réalité.C'est ça que je voulais dire et je ne sais pas si je me suis bien exprimée de prime abord.Je ne pourrais justement pas en faire quelque chose de superficiel. Or mon but, ce n'est pas de faire du réalisme, mais pas non plus banaliser la violence en la dépossédant des sentiments profonds qui en résultent. Je ne sais pas si je m'exprime bien. En gros, je respecte trop les sentiments pour les banaliser, mais je n'ai pas envie de les traiter sérieusement pour autant. Juste rester à la limite du crédible et du respectueux. Pour résumer donc, ma question serait plutôt , comment confronter son personnage à la violence, à la mort ou à l'immoralité tout en restant léger dans le cadre d'un roman divertissant, sans la banaliser pour autant. (vous avez une heure )Spoiler: montrer
Ceci étant, la question de la moralité dans le SFFF m’intéresse de façon beaucoup plus vaste si d'autres veulent élargir le débat.
A moins que tu ne permette à ton héroïne de tomber sur des gens qui lui apporteront un soutient psychologique. Tu vois ce que je veux dire? Des petites réflexions tout au long de l'histoire avec immédiatement les mots juste pour éviter de longues tortures mentales.
Je pense par exemple à Ewilan, qui malgré un contexte parfois violent, reste assez légère et bien dans sa tête grâce aux dialogues avec ses amis. Je ne pense pas qu'elle tue qui que ce soit mais elle est effectivement amenée à faire du mal.