[A] La romance dans votre histoire

[freddymercury]

J'ai cherché dans les anciens posts, mais je n'en ai pas trouvé sur le sujet, alors je me lance:

Est-ce qu'il y a de la romance dans votre histoire? Oui, non, pourquoi? Et de manière générale, comment est-ce que vous percevez ce genre de relation dans la SFFF? Est-ce que vous trouvez ça inutile?

Personnellement, j'aime bien quand il y en a un peu mais qu'elle reste discrète, qu'elle n'est pas l'un des thèmes principaux de l'histoire. Et je déteste quand le type trop beau et l'héroïne tombent inévitablement follement amoureux l'un de l'autre...

[Celia]

Et je déteste quand le type trop beau et l'héroïne tombent inévitablement follement amoureux l'un de l'autre...

Heureusement la romance ne se limite pas à ça ^o^
Je pensais être allergique à la romance. Et puis j'ai écrit mes deux premiers romans et... elle est centrale à l'histoire. Ou plutôt non, elle fait partie des éléments principaux de l'histoire. Et cela ne me gêne pas.
Tomber amoureux de quelqu'un, ce n'est jamais anodin, et j'avoue qu'effectivement, je n'aime pas quand ça sonne téléphoné, ou pire, comme une "étape obligatoire". Mais quand tu te retrouves avec deux personnages qui ont une belle alchimie (sensuelle mais pas que), j'avoue que c'est un véritable plaisir à écrire

[Selsynn]

Je me sens directement impliqué par ton sujet.
Moi, il y a une histoire d'amour dans chacune de mes histoires, surement à cause de ma vision du monde (On se surpasse par amour pour l'autre. Sans l'autre, il manque une part de nous-même, on ne peut pas être complet.)

Des fois, elle concerne simplement deux personnages secondaires, des fois, c'est la rencontre et les relations des deux personnages secondaires un grand pan de l'intrigue. Je classe très rarement mes histoires en Romance, parce que c'est très rarement toute l'histoire. Il y a toujours un autre fil directeur. Une découverte sur le monde, une prise de conscience d'un danger qui plane...

Et je trouve à ce sujet, que la SF et la Fantasy permettent justement que la Romance ne soit pas le seul tenant de l'intrigue. Il est si facile de mettre une histoire de découverte du monde, de fin du monde, d'aventures de cape et d'épées....
Il est si facile de le faire, alors des fois, je suis vraiment surprise, au détour d'un livre, de découvrir que c'est l'unique moteur de l'histoire... Et en général, ce livre ne reste pas longtemps dans mes préférés.

Je considère aussi que la Romance est comme l'Amitié ou l'Amour familiale, quelque chose qui manque si aucun des trois n'est dans l'histoire. Si on nous dépeint aucun des sentiments qui définissent notre rapport à l'autre, je trouve très souvent que cela manque.
Je n'arrive pas à penser à un roman qui n'a aucune part de ces trois sentiments.

Quand au fait que le type trop beau tombe amoureux de l'héroïne qui est très belle elle aussi, c'est un cliché. Mais est-ce pareil si en fait, il est trop beau, mais drogué, violent, ou simplement complètement crétin ? Tu tiens en général une très belle histoire, qui peut finir très mal (surtout s'il est violent ou extremiste) et dont le ressort ne va pas être la rencontre et leur amour foudroyant, mais comment l'amour résiste à la désillusion.
Et personnellement, j'aimerais peut-être en lire un peu plus souvent.

Sur les romances, je préfère quand les deux ne sont pas "parfait" parce que de toute façon, les personnages parfaits, c'est souvent pas très intéressant en littérature (il faut que le personnage est un but à dépasser, s'il est parfait, il ne va pas évoluer, donc il ne va pas changer, donc l'histoire ne va rien lui apporter)

Ma romance préférée est celle d'Orgueil et Préjugés, pas du tout de SF/Fantasy, totalement réaliste, et je suis désolée, mais au début de l'histoire, Darcy est un pauvre crétin borné et Lizzie est bourrée d'orgueil mal placé. Donc, loin des personnages parfait, mais ce qui fait qu'on s'attache à eux, c'est le fait qu'ils dépassent leur "humanité" bourré de défaut et qu'il devienne des gens biens. (Mais pas parfait, on ne devient jamais parfait)

J'ai peur d'avoir un peu dévié, mais j'espère dans l'ensemble être restée dans le sujet !

[Colcoriane]

moi j'en ai beaucoup de romances dans ce que j'écris elle fait aussi partie des éléments principaux de l'histoire. elles font, pardon... mais elles forment un tout avec d'autres éléments, elles s'imbriquent dans des relations familialles et des amitiés et le tout forme - j'espère - un ensemble assez complexe de relations, qui est justement l'élément clé du récit. (après tout, on a un personnage principal qui essaie de renouer avec sa famille - femme et enfants - et ces enfants qui essaient de trouver leur place dans la société ; ajoutons à cela que le récit s'étale sur 15 ans, on a tout le temps de développer des romances )

maintenant, je suis aussi assez agacée quand c'est trop cliché. Le héros trop fort et l'héroïne trop belle qui passent leur temps à se disputer et finissent ensemble à la fin, y en a marre Mais quand c'est fait avec subtilité, j'aime beaucoup les romances, elles ajoutent un certain charme au récit.

EDIT : je suis tout d'accord avec selsynn
l'amour, l'amitié, et les relations familiales sont des moteurs à beaucoup de nos actions, et sans ces relations, on pert une partie de nous, je pense. on est pas obligé d'avoir les trois dans un récit, mais au moins un des trois je pense.
et je plussoies pour les héros pas parfait.
c'est bien plus intéressant de voir les personnages surmonter les difficultés pour maintenir les sentiments que de voir comment ils tombent amoureux. tomber amoureux, c'est "facile", maintenir l'amour une fois qu'on connait les défauts de l'autre, c'est plus dur. et plus beau, je trouve.

[Deirdre]

J'ai aussi de la romance dans la quasi totalité de mes écrits, juste parce que j'adore en écrire

Concernant le type trop beau et l'héroïne, c'est vrai que ça peut être un peu trop cliché. Dans un de mes romans, un de fantasy, celles qui ont lu le premier jet ont tout de suite pensé que mon héroïne allait finir avec le beau prince et ont été étonnées que ce ne soit pas le cas. C'est ce que j'aime, que la romance ne soit pas évidente depuis le début du texte

[Booz]

La romance à tendance à me faire fuir lorsqu'elle est au coeur d'un roman parce que, très souvent ça ne sonne pas juste à mes yeux. Selon moi, beaucoup d'auteurs tentent trop souvent à créer une romance qu'ils idéalisent avec des personnages idéalisés (je ne dis pas des personnages avec trop de qualités, des personnages trop tout court (ça peut être trop sombres/torturés/méchants/etc.)).
Ce qui m'intéresse, ce sont les auteurs qui apprennent à donner de l'importance aux gens normaux (je me suis pris une claque avec le Vanille givrée #2, une petite pépite écrite à six mains que je vous encourage à aller lire).

Du coup, dans mes textes, dès qu'il s'agit de romance, ça ne se fini jamais bien, on ne peut pas espérer de fin heureuse et, s'il y a de l'espoir ce n'est que pour mieux le piétiner (et ça fait ça avec les liens familiaux et amicaux). Bref, c'est joyeux. Ceci dit, j'aime quand ça se termine bien, c'est juste que ça me semble compliqué d'écrire un texte cohérent qui se termine bien (et j'admire les personnes qui y parviennent) et je suis très exigeante en ce qui concerne la cohérence.

Edit :

J'ai aussi de la romance dans la quasi totalité de mes écrits, juste parce que j'adore en écrire

Concernant le type trop beau et l'héroïne, c'est vrai que ça peut être un peu trop cliché. Dans un de mes romans, un de fantasy, celles qui ont lu le premier jet ont tout de suite pensé que mon héroïne allait finir avec le beau prince et ont été étonnées que ce ne soit pas le cas. C'est ce que j'aime, que la romance ne soit pas évidente depuis le début du texte

C'est pile le genre de texte que j'aimerai lire (mais, une fois encore, il faut que ce soit cohérent avec les personnages et pas seulement un pied de nez au lecteur (du genre 'Aha ! je t'ai bien eu !' ).

[freddymercury]

Je milite activement contre le héros sans peur et sans reproche (personne ne l'est dans mon histoire) et contre le prince beau à qui personne (surtout l'héroïne) ne résiste, c'est d'un ennuyeux!

[Kira]

Est-ce qu'il y a de la romance dans votre histoire? Oui, non, pourquoi?

Mes histoires (pour les adultes) sont de la romance, donc l'histoire tourne essentiellement autour de ça Ceci dit, une histoire d'amour c'est quand même plus drôle quand il y a des obstacles extérieurs et tant qu'à faire, autant que ce soit de la fantasy, du fantastique ou de la SF dedans, avec de gros morceaux d'aventure et des bagarres et des gros monstres pas beaux. (J'avoue avoir plus de mal avec la romance contemporaine de ce point de vue là). Pourquoi? Parce que j'aime ça

De manière générale, comment est-ce que vous percevez ce genre de relation dans la SFFF? Est-ce que vous trouvez ça inutile?

Rien n'est jamais inutile, à condition que cela serve l'histoire. Si ton histoire c'est Mario qui va sauver princess Peach, la romance va être essentielle. Si ton histoire, c'est Mario qui doit tuer tous les monstres sortis des égouts pour sauver New York, il n'est pas obligé d'être en plus amoureux de princess Peach.
Exemple : Han Solo aurait-il aidé l'Alliance de la même façon s'il n'avait pas été amoureux de Leïa ? (Question subsidiaire : Luke est-il un héros sans peur et sans reproche? )

je déteste quand le type trop beau et l'héroïne tombent inévitablement follement amoureux l'un de l'autre...

Parce que c'est un code de la romance "pure" qui est un genre très codifié, comprendre : quand tu ouvres un livre de ce genre, tu t'attends à ce que les choses se passent comme ça. Tout comme quand tu ouvres un roman d'horreur,ou policier, tu t'attends à un certain nombre de choses codifiées. Ces codes ne sont pas forcément transposables à d'autres genres.

[Iluinar]

Moi, ce n'est pas un thème qui m'intéresse plus que ça. Si, effectivement, c'est le seul de l'histoire, je vais passer mon chemin. Comme Booz, je suis assez exigeant sur le réalisme et je n'aime pas l'idée de metre de la romance "parce qu'il en faut". Et ce que je déteste le plus, c'est quand on a deviné dès les premières pages qui va finir avec qui, genre tout le monde le sait sauf les deux intéressés.

Ça, c'était en tant que lecteur. En tant qu'auteur, ce n'est pas non plus un de mes thèmes préférés. Bon, je suis surtout nouvelliste et c'est plus facile de s'en passer dans un texte court.

[Celia]

Kira je t'adore ^o^

De manière générale, comment est-ce que vous percevez ce genre de relation dans la SFFF? Est-ce que vous trouvez ça inutile?

Rien n'est jamais inutile, à condition que cela serve l'histoire. Si ton histoire c'est Mario qui va sauver princess Peach, la romance va être essentielle. Si ton histoire, c'est Mario qui doit tuer tous les monstres sortis des égouts pour sauver New York, il n'est pas obligé d'être en plus amoureux de princess Peach.
Exemple : Han Solo aurait-il aidé l'Alliance de la même façon s'il n'avait pas été amoureux de Leïa ? (Question subsidiaire : Luke est-il un héros sans peur et sans reproche? )

La romance (comme la violence dans un autre sujet) souffre d'une image assez caricatural (et qui existe : quand j'ouvre un Harlequin ou un Milady, je sais ce que je vais y trouver, alors si Adam est super beau et Samuel hyper choupi et que Mercy va forcément finir avec l'un des deux, ce n'est pas grave : c'est un code du genre et j'en lis aussi pour ça.
Après dans un livre à l'intrigue plus générale, l'amour peut être bien utilisé et servir l'histoire. L'exemple de Star Wars est très juste et très parlant. Stricto sensu, la romance entre Leïa et Han n'est pas très importante (l'important, c'est la Rébellion, le parcours initiatique de Luke et celui, inversé, de Darth Vader), mais elle est là et elle ne fait pas artificielle. Elle est juste naturelle et enclenche au moins un évènement dans la trilogie.
Je ne répondrai pas à la question sur Luke
La romance me gonfle dans deux cas : 1. quand c'est un passage obligé ; 2. quand la femme est là juste pour coucher avec le mec (et ça arrive, malheureusement, dans un certain nombre de bouquin de SF de la "vieille école", j'ose espérer que c'est moins courant maintenant)
Autrement, pas de souci de mon côté. Certains de mes bouquins préférés sont des romances. L'Exil de Sharra est basée sur une romance (qui a très mal tourné), Entretien avec un vampire, pareil (si Lestat n'avait pas eu un gros besoin de domination, hyper sexualisée, sur Louis, il n'y aurait pas eu d'histoire du tout, il aurait pu le tuer d'un coup) Et je suis sûre de pouvoir trouver d'autres exemples.
D'un autre côté, il existe des histoires dénuées de romance. Les Faucheurs sont des anges, pourtant un roman avec une héroïne (jeune et révoltée), édité par Bragelonne, en est dépourvu. Et ça ne manque pas. Du tout.

[Roanne]

Ce qui m'intéresse, ce sont les auteurs qui apprennent à donner de l'importance aux gens normaux (je me suis pris une claque avec le Vanille givrée #2, une petite pépite écrite à six mains que je vous encourage à aller lire).

(j'ai eu si peu de retour sur ce texte co-écrit avec Chapardeuse et Tristeplume... tu ne peux pas savoir à quel point ça me fait plaisir de lire un tel retour spontané... j'ai le coeur tout guimauve façon nounours, là, pour la peine !)

Pour ma part, je suis mitigée sur les romances, en fait je les adore sous condition.

Au niveau de mes textes, je crois que je m'améliore dans leur traitement, mais ce n'est pas encore gagné.
Par ex, mes lecteurs, ou plutôt mes lectrices, ne s'attachent pas forcément aux mêmes personnages que moi et il faut savoir le gérer pour éviter de se retrouver avec des menaces via SMS.

Je me pensais incapable d'écrire une romance pure, un roman dont ce serait vraiment le thème principal, et pourtant c'est ce que j'ai fait avec le challenge que je viens de boucler (notez que c'est la faute à Aelys, pas la mienne ! ).
Au final, je me suis éclatée avec l'écriture de ce projet, qui aborde des problématiques actuelles, pas seulement le fait de regarder l'autre, yeux dans le yeux, jusqu'à ce qu'on n'exprime plus qu'un regard de morue morte.

En fait, je distingue les "héros" de romance en deux grandes catégorie :
> ceux qui "existent", qui ont des centres d'intérêts, et auxquels le sentiments amoureux va donner une dynamique (soit en apportant la cerise sur le gâteau de l'épanouissement personnel, soit au contraire en mettant à mal cet équilibre personnel) - ça, j'aime, beaucoup et c'est ce que j'espère réussir dans mes textes
> ceux qui sont creux, sans centres d'intérêts réel, qui font des choses parce que l'auteur les a caractérisé ainsi mais sans y être véritablement impliqués, sans se passionner pour rien, et qui ne respirent plus en dehors de la présence du granamourdeleurvie - ça, je trouve que c'est insupportable

[Roanne]

Post croisé, donc je reprends ça à part :

D'un autre côté, il existe des histoires dénuées de romance. Les Faucheurs sont des anges, pourtant un roman avec une héroïne (jeune et révoltée), édité par Bragelonne, en est dépourvu. Et ça ne manque pas. Du tout.

J'ai lu énormément de roman sans romance, et quand ils sont bien équilibrés, ça ne manque vraiment pas.

Le dernier en date, un coup de coeur cette année : Mes idées folles (pas SFFF pour deux sous mais si absurde que je vous le conseille très très fort, je me suis régalée avec !).

La romance n'est pas un ingrédient indispensable pour l'écriture. Par contre, à partir du moment où on en met, il faut savoir ce qu'on veut en faire.

Le plus enquiquinant, je pense, reste le cas dans lequel je me suis retrouvée : un roman que je n'envisageais pas comme une romance, mais que les lecteurs ont toujours considérée comme telle, donc avec des attentes auxquelles je ne pouvais pas répondre (j'essaye, mais c'est bancal).
Ca, je ne le souhaite à personne !
(on peut dire que je me suis bien plantée, pour le coup)

[Celia]

C'est comme ça qu'on apprend aussi.
Mon premier roman, je voulais en faire une romance (avec de la SF et tout), mais finalement quand j'y repense je sais que je me suis fourvoyée, parce que les thèmes qui ont surgi au cours de l'écriture n'allaient pas du tout dans cette direction.

[AxelleC]

Vos points de vue sont toujours enrichissants à lire...

Pour une fois, j'ose donner le mien.
Ayant été une lectrice de romance à outrance (cœur grenadine (erf), harlequin, et autres mièvreries), j'ai d'abord été influencée par ça en terme d'écriture... (j'en rougis encore... dieu que c'était culcul)

Mais comme on peut vieillir et vivre plein de choses, ça peut amener à se dire que le culcul, c'est bien mignon mais finalement ce n'est pas satisfaisant.

Un de mes premiers "chocs" de roman contenant de la romance mais n'en ayant pas le but, a été les Derniers Hommes de Pierre Bordage. Solman est un personnage particulier qui restera cher à mon coeur et l'intrigue autour de sa quête personnelle qui passe par l'amour (sans que ça soit obligatoire) m'a semblé juste et très réaliste.

Et puis, j'ai rencontré Lyra et William (A la croisée des mondes de Pullman), et là, mon cœur de midinette s'est réveillé.
Je voulais écrire des histoires avec cette découverte de l'autre, ce tâtonnement, ce désir parfois timide, par fois violent.
J'espère y arriver un jour aussi bien

Pour répondre aux questions de freddy :

Est-ce qu'il y a de la romance dans votre histoire? Oui, non, pourquoi? Et de manière générale, comment est-ce que vous percevez ce genre de relation dans la SFFF? Est-ce que vous trouvez ça inutile?

Oui, il y en a, Zack et Lucie aiment se tourner autour
Dans la SFFF, je trouve qu'elles ont souvent plus d'enjeux (des fois mortels) que dans de la blanche. Toutes ces histoires de pouvoirs surnaturels qui s'entre-croisent ou de fin du monde exacerbent des fois le caractère passionnel des relations amoureuses.
Rarement inutile ma foi, puis que des histoires d'amour, dans la vraie vie, il y en a tous les jours (après ce n'est pas obligatoirement le plat principal d'une histoire, une pincée de ci, une goutte de là, c'est très bien aussi !)

[Khaos]

Moi aussi j'ai une romance dans mon roman, mais je ne l'a fait pas "évoluer", c'est-à-dire que je n'explique pas comment ils se sont rencontrés etc., ils sont en couples et c'est tout. Il faut aussi noter que cette romance ne concerne pas mes personnages principaux, mes secondaires.

Si j'ai mis une romance au plan secondaire, c'est parce'que ce n'est pas l'un de mes thèmes favoris, je me focalise plus sur les thèmes principaux de mon roman.