Bonjour,
Je suis actuellement en train de réfléchir à une fiction qui se déroulera en 1793 dans une famille noble. Mon problème concerne la question du vouvoiement et du tutoiement. Les personnages présents dans le château sont : les parents (comtes ou marquis,je verrais),les trois enfants âgés respectivement de 17,10 et 4 ans et la domestique âgées de 17 ans également. Je suppose que les parents tutoieront leurs enfants et que ces derniers le vouvoieront mais qu'en est il du reste ? Les parents vouvoient ou tutoient ils la servante (qui les vouvoiera) ? Les enfants diront ils vous à cette dernière et inversement (est-ce qu'elle peut vouvoyer le plus âgé mais tutoyer les plus jeunes ?).Les enfants se vouvoient ils entre eux (je sais,cela fait bizarre mais je me pose quand même la question ?). Si l'on part du principe que la servante vouvoie le plus âgé,pourra t'elle le tutoyer par la suite,lorsqu'ils deviendront de très bons amis ?
Et petite question historique : la servante vit elle chez ses maitres ou dans un endroit à part (ce qui implique qu'elle recoit un salaire et tout et tout) ? Ses maitres peuvent ils se montrer très gentils avec elles,sans jamais avoir recours aux coups ni aux menaces ?
Merci pour vos réponses !
Vouvoiement et tutoiement: un choix cornélien
- Macada
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Re: Vouvoiement et tutoiement: un choix cornélien
Tu devrais trouver des éléments de réponse ICI.
Quant à la façon de traiter une domestique au XVIIIe siècle, je pense qu'à peu de choses près c'est la même qu'actuellement.
Et oui, les domestiques touchaient des salaires qu'ils soient logés sur place ou non.
Quant à la façon de traiter une domestique au XVIIIe siècle, je pense qu'à peu de choses près c'est la même qu'actuellement.
Et oui, les domestiques touchaient des salaires qu'ils soient logés sur place ou non.
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Re: Vouvoiement et tutoiement: un choix cornélien
Merci pour cette réponse,
Je pense que les personnages vont tous se vouvoyer à l'exception des frères et soeurs qui se tutoieront (d'autant plus qu'ils sont très proches) et de la servante qui tutoiera le petit garcon (mais pas le plus grand) Et bien sûr des parents qui diront "tu " à leurs enfants (sinon,cela fait un peu bizarre). Dois-je changer certains détails ?
Je pense que les personnages vont tous se vouvoyer à l'exception des frères et soeurs qui se tutoieront (d'autant plus qu'ils sont très proches) et de la servante qui tutoiera le petit garcon (mais pas le plus grand) Et bien sûr des parents qui diront "tu " à leurs enfants (sinon,cela fait un peu bizarre). Dois-je changer certains détails ?
- Hikari
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Re: Vouvoiement et tutoiement: un choix cornélien
Je ne connais pas les coutumes de 1793, mais en 1900 au Québec, tout le monde se vouvoyaient. Mes grands-parents (nés en 1914 et 1926) vouvoyaient aussi leurs frères, soeurs et parents. Les seuls qu'on ne vouvoient pas sont les enfants, sauf s'ils sont adultes.Fioco a écrit : ↑mar. août 18, 2020 4:23 pmMerci pour cette réponse,
Je pense que les personnages vont tous se vouvoyer à l'exception des frères et soeurs qui se tutoieront (d'autant plus qu'ils sont très proches) et de la servante qui tutoiera le petit garcon (mais pas le plus grand) Et bien sûr des parents qui diront "tu " à leurs enfants (sinon,cela fait un peu bizarre). Dois-je changer certains détails ?