Bonjour à tous !

[cephalateur]

Bonjour,
Une petite présentation : je ne suis plus tout jeune puisque j'ai dépassé le demi-siècle !
J'ai de nombreuses passions : botanique (un grand jardin qui me prend un temps fou), paléontologie, histoire de ma région, à l'occasion chasseur de météorite, peinture...
Un jour voici bien longtemps, (la dernière année du siècle dernier), j'ai imaginé en peinture Rouen au 23eme siècle. Une fois mon panorama achevé, je trouvais dommage de ne pas faire vivre mon tableau... Alors m'est venu l'idée de le décrire ! J'ai imaginé la fonction de certains bâtiments, et me suis imaginé habiter cette ville futuriste. De fil en aiguille, j'ai inventé des personnages et une histoire...
Malheureusement pour moi, je souhaitais écrire depuis des lustres un livre sur Rouen, mais lors de la seconde guerre mondiale ! Alors j'ai laissé le premier projet en veille et me suis lancé dans l'écriture d'un roman historique.
J'ai malheureusement baissé les bras, occupé par d'autres projets.
Au bout de 10 ans, j'ai relancé les deux projets. Un jour, une lumineuse idée m'a permis d'imaginer un lien entre les deux histoires. Cette fois, je pouvais les écrire en parallèle et mes deux livres ont vite avancé. Si le scénario du livre d'anticipation était bouclé, il manquait ce petit quelque chose au premier livre.
A la suite de changements dans ma vie, j'ai laissé une fois encore s'endormir ces projets.
L’an dernier, j’ai enfin eu le courage de ressortir mon livre historique et ai consacré bien du temps à l’améliorer, vérifier des informations historiques, y compris aux archives. Par des discussions, j’ai enfin compris ce qui ne me convenait pas. Mon scénario tient enfin la route.
J’ai consacré ensuite les 6 derniers mois à le corriger, à l’améliorer. Je le considère enfin comme achevé. C’est un roman historique régionaliste avec une infime part de sciences fiction. Pas facile à vendre !
Je retravaille donc le second volet, surtout pour améliorer le style. La suite du premier, c’est une histoire d’anticipation. Je travaille les livres de façon à proposer une lecture indépendante l’un de l’autre.
Nb : le cephalateur est un symbiote informatique que tout humain du 23eme siècle possède au poignet.

Au plaisir de vus lire et de me conseiller car je ne sais que faire de mon premier livre.

[Pi.]

dans la mare cephalateur !

Alors pour la partie roman historique, il ne rentre pas tout à fait dans le cadre de ce forum (sauf si la partie SF y joue un rôle important) puisqu'ici tout est centré autour de l'imaginaire (SFFF). Mais je pense que les problème d'édition se ressemblent et tu pourras sans doute trouver des conseils avisés ici. Il est difficile de faire éditer un livre, mais même si tu l'as déjà corrigé, une beta lecture par un oeil extérieur t'apportera beaucoup.
( la Beta Lecture selon CoCyclics )
Pour la partie XXIIIème siècle en revanche, elle a toute sa place ici. Et tu pourras lorgner du côté de la Mère Fouettarde :
SE MOTIVER À CORRIGER - Le nénuphar de la Mère Fouettarde

La mare est vaste alors si tu te sens perdu, n'hésite pas, nous avons un système de guide auquel tu peux faire appel. Laisse-toi guider !

Bonne découverte !

[Redornan]

Bienvenue à toi!

Sacré travail que celui-là d'écrire un roman historique ou approchant!

[Elijah Bailey]

Bonjour cephalateur.
Je me sens moins seul, maintenant qu'un autre "plus-tout-jeune" s'est présenté.
Bravo pour tout ce travail déjà accompli.

[Oxymore]

Bonjour et bienvenue cephalateur !

Tout d'abord bravo pour avoir mené au bout ces deux romans !! Ce n'est pas rien. Surtout tout seul.

En effet pour corriger tes romans la section des papyrus (où tu peux proposer des extraits à faire bêta-lire pour savoir comment corriger) ou celle de la Mère Fouettarde (pour t'organiser dans tes corrections) sont deux bons endroits où commencer à explorer notre grande mare.

Pour moi tes deux projets ont leur place sur Cocyclics puisqu'ils contiennent tous deux des éléments des littératures de l'imaginaire ; même un peu. Par exemple Quand vient la horde d'Aurélie Luong (Ifuldrita sur la mare) est un roman qui se passe en Corée médiévale… sans élément magique. Mais c'est une Corée qu'elle a inventée, qui n'est pas vraiment la Corée médiévale de notre univers. Et ça compte bien comme de la SFFF.

Bonne découverte !

Je me sens moins seul, maintenant qu'un autre "plus-tout-jeune" s'est présenté.

Eh vous êtes loin d'être tous seuls : d'autres ont dépassé la cinquantaine (et je n'en suis plus très loin moi-même.)

[Super_Rainette]

Que vois-je ? Une nouvelle grenouille arpente nos eaux !

Je suis très heureuse de t'accueillir dans notre belle mare !

Ah, tu verras, barboter ici est un plaisir… mais il peut être facile de s’égarer au milieu de ces nénuphars chatoyants, surtout au début !

Alors, si tu as du mal à t’y retrouver, que tu as des questions ou besoin d’un coup de palme, voici ce que tu peux faire :

• Consulter le Guide d'accueil de CoCyclics qui t’aidera à faire tes premières brasses dans la mare. Tu peux également consulter Les règles et la nétiquette pour te familiariser avec le fonctionnement du forum.
• Tu verras que la plupart des sections ont épinglé en entête un sujet « à quoi sert cette section ? À lire avant de poster. » Ces fils te donneront toutes les clés pour participer et créer tes propres sujets.
• Si tu le souhaites, tu peux demander à ce qu'une grenouille plus ancienne t'accompagne dans ta découverte de la mare sur ce fil.
• Et bien sûr, au moindre souci, tu peux contacter par message privé mes fidèles serviteurs, les modérateurs de la mare, dont les pseudos sont de couleur fuchsia. Ils te répondront et t’aideront avec plaisir !

Je te souhaite une belle découverte de nos eaux, cephalateur ! Que tes palmes te propulsent vers de charmants nénuphars !

[cephalateur]

Merci pour cet accueil !
Je vais regarder tout cela de plus près.
Je pensais au premier livre : seul le prologue évoque la science fiction, ainsi qu'une note de bas de page (parmi des dizaines des plus sérieuses) qui fait référence à une découverte du début du 22ème siècle, deux pages essentielles à la fin qui ne trouvent une explication rationnelle que lors de la lecture du second livre, ainsi que de nombreuses références à des mouches... Là aussi, j'en reparle dans le second livre.
Pour le reste, je m'appuie sur la réalité historique et l'histoire tragique de Rouen s'y prête.
Pourquoi ne pas vous montrer le prologue ?
Pour le second, je retravaille le style avant de montrer quoi que ce soit.

[Cam Tiberyl]

Welcome cephalateur, petit symbiote informatique.

Un gros bravo pour l'écriture de ces deux romans. C'est un travail conséquent qui vient d'être achever, mais surtout ne te relâche pas, c'est maintenant que le travaille de relecture/réécriture commence (haha, on dirais que je m'auto-encourage en disant ça aussi). Mais tu n'es point seul, les bêta-lecteurs compétents de la mare vont pouvoir t'apporter leur point de vue et ainsi t'aider dans ce dur labeur.

J'ai hâte de pouvoir lire tes extraits ! Tu as très bien vendu tes histoires je trouve, et le mélange, même subtil, de SF et d'historique m'emballe pas mal. Montrer le prologue est très bien pour commencer, surtout que c'est un début de roman, donc ça t'évite de devoir expliquer un contexte.

[cephalateur]

Pour avoir enterré par deux fois le projet, je compte bien me battre pour l'éviter cette fois-ci.Je pense qu'il est temps pour moi d'oser confronter mon travail aux autres !
Il faut déjà que j'apprivoise le site. Je découvre tout ici, y compris la beta lecture !

[cephalateur]

Bonjour,
Je vous annonce que je suis une véritable bille ! Impossible de comprendre comment insérer un texte que l'on veut soumettre à lecture !
J'ai cherché mais manifestement pas au bon endroit.
Je vais me servir d'un lien pour demander de l'aide.

[Oxymore]

Bonjour,
Je vous annonce que je suis une véritable bille ! Impossible de comprendre comment insérer un texte que l'on veut soumettre à lecture !
J'ai cherché mais manifestement pas au bon endroit.
Je vais me servir d'un lien pour demander de l'aide.

Pour insérer ton texte, il vaut mieux cliquer d'abord sur "éditeur avancé et prévisualisation" tu accèderas ainsi aux balises juste au-dessus du champ texte. Le mieux est d'utiliser la balise "extrait" il me semble. lorsque tu cliques dessus, elle affiche quelque chose comme ça :
[ extrait][/ extrait]
entre les deux termes entre crochets, tu copies-colles ton texte.

Mais pour cela… il faut déjà avoir ouvert un fil de discussion dans la partie où tu veux le poster. N'hésite pas à consulter les règles d'abord. Et tu peux aussi réclamer un guide si tu te sens un peu perdue

[cephalateur]

Je m'aperçois que je n'avais jamais pris la peine de faire un résumé du premier livre alors je vous en propose un :

Spoiler: montrer

Synopsis :

L’histoire tragique de Rouen lors de la Seconde Guerre mondiale.
Julien, instituteur féru de sa ville, tutoie malgré lui la collaboration. Célibataire par dépit et solitaire, c’est l’amour pour Léa qui le précipite dans la guerre. Elle le conduira à rejoindre la Résistance tandis qu’il assiste impuissant à la destruction de sa ville lors des bombardements de 1944...

Depuis l’incendie du 9 juin 1940, Julien tente tant bien que mal de rester en dehors des événements qui secouent la région. Il se lie d’amitié avec un soldat allemand avec qui il monnaye les richesses de sa campagne.
Mis malgré lui à contribution par l’Occupant pour ses compétences historiques d’une ville qu’il dépeint comme nul autre, il culpabilise de fréquenter les bonnes tables en compagnie d’une ancienne connaissance, vichyste convaincu.
Célibataire, il n’ose pas s’engager dans une relation avec Émilie, une collègue qu’il apprécie, mais qui s’éloigne de son idéal féminin et manque cruellement de fantaisie.
Le collaborateur exécuté sous ses yeux, des voisins résistants dénoncés, il se renferme. Rouennais de cœur, il fuit cependant lorsqu’il le peut la cité et se réfugie dans sa maison perdue au plus profond du Pays de Caux. Seuls ses amis qu’il aime retrouver en ville dans le bar de Paul, son confident, l’empêchent de sombrer dans la misanthropie.
Un jour, débarque d’Alsace Léa, la cousine de son ami médecin. Subjugué par cette femme, il en tombe amoureux, mais ne se sent pas à sa hauteur.
Il comprend qu’elle travaille pour la Résistance ; il est amené à accomplir de menues tâches pour la cause.
Léa s’occupe de sa tante diminuée et assiste son cousin lorsqu’il rend visite à ses patients. Elle préfère donc rester en ville malgré le danger.
C’est dans la nuit du 19 avril 1944, dans le chaos du terrible bombardement, qu’ils se déclarent enfin leur flamme.
Malgré la situation, ils profitent de jours heureux, attendant la libération.
En ce 31 mai, alors qu’ils longent les quais, une nouvelle attaque alliée s’annonce : le début de la semaine rouge. Julien tente de secourir la tante de Léa tandis que la jeune femme s’abrite dans un souterrain sur les quais de la Seine.
Blessé, il reprend ses esprits dans l’hôpital. Il apprend que sa compagne est enfouie dans l’abri. Sur place, il comprend qu’elle a péri avec une centaine de personnes dans le sous-terrain effondré.
Il affronte cette douleur ainsi que l’anéantissement de sa ville. Il assiste, impuissant, à des scènes d’horreur ainsi qu’à l’incendie de sa cathédrale.
Après le débarquement, il abandonne la ville, mais se morfond dans sa campagne, en compagnie parfois de pilotes alliés qu’il héberge.
Inconsolable, il retourne en ville fin août. Il erre dans les quartiers dévastés pour se réfugier dans les décombres de Saint-Vincent, édifice pulvérisé lors de la semaine rouge. Il assiste au dénouement de la guerre dans la région, à la destruction des restes de l’armée allemande acculée sur les quais.
Récupérant un fusil sur un soldat mort, il retourne finalement l’arme contre lui.
Une incroyable apparition sur des pierres de l'église l’incite à renoncer à son projet et lui redonne sens à sa vie.
Après la libération, il revoit Émilie et comprend qu’après avoir connu la passion avec Léa, il se contentera de la raison.
Il garde précieusement une boîte dans laquelle il conserve d’extraordinaires mouches qu’il a ramassées dans les ruines de Saint-Vincent… Le texte compte sec.

Cette fameuse Léa est l'héroïne du second livre. Pour vous en parler, là, j'aurai davantage ma place dans ce forum.
L'autre personnage principal apparaît brièvement dans le premier livre.

J'ajoute ici, dans ma présentation, un extrait représentatif de ce livre. Il n'a pas sa place ailleurs sur le forum. Je l'aime particulièrement car c'est ce chapitre qui m'a relancé cet hiver. C'est un soir où j'étais inspiré, où je regardais une série à laquelle je n'accrochais pas (pourtant de SF). Donc deux heures pour l'écrire, pas vraiment dans le calme et peu de retouches ensuite. Ce n'est malheureusement pas si simple d'habitude.
Pourquoi cet extrait ? Parce que cela correspond à une longueur moyenne de mes chapitres, parce que je m'identifie au personnage qui me ressemble beaucoup et qu'il représente bien la tonalité du livre.

Spoiler: montrer

Les caramels

Noël approche, tout autant triste que les précédents.
Le logement de fonction de mon directeur scinde en deux cette grande école. D’un côté seulement, surmonté d’un étage, un long couloir dessert chaque classe. La mienne, au rez-de-chaussée de ce bâtiment glacial, pas davantage inhospitalier que les autres, s’en trouve la plus excentrée. À l’intérieur, le bois abonde sauf dans le poêle. La pièce, bien exposée, aux larges baies vitrées, souffre du manque de soleil. Lui aussi a décidé de nous abandonner.
Je compte apporter un peu de chaleur à mes élèves.
Ces enfants, frigorifiés par une salle trop froide et d’informes loques, vestiges de vêtements usés, auront chaud au cœur l’espace d’un instant. Trop peu, déjà beaucoup !
Parce qu’enfin, j’ai osé.

Antoine Burette travaille à la préfecture.
Là-bas, comme dans toute administration, le non-gradé survit de la même manière que tout Français du peuple. Chacun porte sa croix, en attendant des jours meilleurs.
Le gratin des hautes sphères, lui, s’engraisse dans des soirées mondaines, se congratule des bienfaits de la Collaboration, sous la magnanimité d’un Occupant qui n’en demandait pas tant.
Ne posant pas de question, j’ignore les fonctions qu’il exerce. Lorsque j’ai joué le curieux, une réponse évasive, noyée sous son coutumier sourire ne m’apportait rien. Néanmoins, j’ai cru comprendre qu’il lui arrivait de conseiller et d’écrire des discours. Mais pour qui ?
Il semble tous les connaître, Français ou Allemand. Il inspire le respect autant que la crainte ! Tous se prétendent ses amis. Certains rictus masquent l’ambition et, assurément, l’hostilité. Il le sait.
Et moi dans tout cela ?
Je l’ai rencontré avant la guerre. Il s’était arrêté alors que j’esquissais une toile dans la rue, place de la Haute Vieille Tour, un quartier aujourd’hui détruit, dominé par la flèche de Notre-Dame. Nous avions sympathisé de suite. Qu’appréciait-il chez moi ? La peinture, la connaissance de mes monuments ou plutôt la façon de les évoquer au point, comme lui, de me les approprier ?
Nous ne nous ressemblons pas. Sans parler d’antinomie, lui se veut un citadin pur souche, féru de lettres, et non de sciences. Il a écrit des poèmes et des papiers sur Rouen dont il trace le portrait par le mot. Notre amour partagé de la ville, sa verve et ses flatteries me séduisaient, moi, un bossu complexé peu sûr de moi, moqué et rabaissé trop souvent par de viriles imbéciles. Contrairement à moi, l’élégance lui sied ; sa classe naturelle me fascine tout autant qu’elle m’agace.
Grâce à lui, j’ai côtoyé du beau monde un tantinet parisianisme. Parmi eux, des personnes brillantes qui me laissaient sans voix. Face au génie, je me tais et j’écoute. Pour d’autres, de précieux crétins, je sortais la phrase assassine qui fusait aussi spontanément que je respirais. En cela, j’impressionnais Antoine qui se délectait de mes performances improvisées.
Parmi ce monde de lettrés où je ne sentais pas ma place, certains pensaient m’écraser de leurs vagues connaissances orchidophiles, astronomiques, paléontologiques et j’en passe ! Ils me lançaient des munitions que je ne tardais pas à renvoyer. J’aimais surprendre, une façon pour moi de provoquer, contredire les certitudes par l’imparable argumentation. Battre le philosophe par le mot, quelle formidable jouissance ! Je ne manquais pas d’expérience, fouettant le curé à coups de sciences dès le plus jeune âge.
Voici une époque révolue, car je n’ose plus. J’ai perdu ma spontanéité, mon souffle d’antan par sagesse ou plutôt par peur. Mieux vaut éviter de s’attirer la foudre de certains en ce moment, surtout dans ce milieu.
Je préfère de loin nos instants entre amis où je reste moi-même ; pas ces repas guindés, riches en faux semblants.
Il m’invite beaucoup ces dernières semaines et j’ignore pourquoi.
Un jour, il me demandera des comptes. Je devrai alors choisir.

Lors d’une de ces soirées, planté un temps devant une montagne de friandises, j’en goûte finalement une. J’en saisis soudain une pleine poignée pour les cacher dans ma veste.
– Julien, que vous arrive-t-il ? Le banquet n’a donc pas satisfait votre palais ?
Je sursaute et tente de me justifier auprès d’Antoine :
– Je ne les prends pas pour moi : je pense aux enfants de ma classe…
Perplexe, il me regarde en silence et :
– Allez-y ! Garnissez copieusement vos poches…
J’hésite puis je m’exécute. Il me contemple de son large sourire :
– Vous enseignez bien à Déville ? Réfléchissons à la façon de vous aider…

Le père Noël saura se montrer généreux cette année à l’école, tout à la gloire du Maréchal.
En attendant, c’est avec une bouille réjouie que mes élèves se délectent de caramels. Ils en redécouvrent le goût. Déjà cela que les Boches n’auront pas !
Et surtout tous ces cons…
  Le texte compte sec.

Un détail important : je ne suis pas littéraire de formation (études scientifiques) alors j'espère ne pas massacrer la langue française...

[Cerfate]

Bonjour cephalateur,
Nous avons vu que tu avais posté un extrait et un synopsis sur ton fil de présentation. Je pense que l'idée était de présenter ton projet, mais au cas où, les béta-lectures ont toutes leurs espaces dédiés.
-> Pour un extrait, ça se passe dans les papyrus (il me semble avoir vu un post donc tu as l'air d'avoir trouvé le lieu )
-> Pour un synopsis, ça se passe dans le crawl (dont tu trouveras les conditions d'accès ici ! )

Enfin, si tu as besoin d'encouragement pour ton projet ou si tu cherches un espace pour le partager au fur et à mesure, n'hésite pas à te familiariser avec la section des challenges (pour les premiers jets) et le nénuphar de la mère fouettarde (pour les corrections) .

Voilà, au plaisir de te faire découvrir la mare !
Cerfate pour la modération

[cephalateur]

Bonjour,
Oui, j'ai mis et extrait ici parce qu'il n'a pas sa place ailleurs. Il est représentatif de ce que j'ai pu écrire dans le premier livre mais ne rentre pas dans le domaine de la science fiction. Je ne peux le présenter dans l'espace dédié. J'aime bien ce passage car je me reconnais dans le personnage principal, d'où l'idée de le mettre ici. Si cela pose problème, je l'enlève sans soucis.
Pour le premier extrait que j'ai présenté, la partie Sf est sous entendue. J'en proposerai deux autres, où ce sera plus net. Au moins, je n'ai pas à me demander quelle partie je peux présenter !
Ce sera aussi intéressant de montrer le début du second livre où le même lieu est décrit 250 ans plus tard.

Je n'avais pas vu qu'il existait un espace pour les synopsis : que la mare est grande ! Peut-être serait-il judicieux pour moi d'y présenter le projet dans son ensemble et pas juste la moitié, comme ici !
Ah, si j'avais davantage de temps pour m'occuper de tout cela...