Je termine un texte d'environ 200.000 signes, dans le genre fantastique. J'en ai deux autres en préparation, un orienté fantasy, et un fantastique/fable contemporaine.
La question que je me pose, c'est : qu'est-ce que vous faites de vos novellas ?
Connaissez-vous des éditeurs SFFF qui les publient ?
Merci d'avance de vos réponses !
[A] Que faire de nos novellas ?
- Beorn
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Re: Que faire de nos novellas ?
Le seul que je connaisse, c'est Griffe d'Encre, qui publie des novellas de fantastique.
Mais les soumissions spontanées sont fermées (sauf pour le partenariat avec CoCyclics).
Il y en a peut-être d'autres, cependant...
EDIT : si ton texte est pour la jeunesse (plutôt 10 ans et plus), 200 000 signes, cela peut être considéré comme un roman par les éditeurs.
Mais les soumissions spontanées sont fermées (sauf pour le partenariat avec CoCyclics).
Il y en a peut-être d'autres, cependant...
EDIT : si ton texte est pour la jeunesse (plutôt 10 ans et plus), 200 000 signes, cela peut être considéré comme un roman par les éditeurs.
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Castelmore : Le jour où... / 14-14 / Un ogre en cavale / Lune rousse
Rageot : Le club des chasseurs de fantômes 1 et 2
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Re: Que faire de nos novellas ?
L'Atalante dit ne pas se fier à la taille du manuscrit pour en juger la qualité.
Malpertuis fait du fantastique, mais je ne connais pas leur politique en terme de taille.
S'il s'agit de fantastique léger, ou de fable (genre le fantastique sud-américain, peut-être ?), tu peux tenter des maisons de blanche (les bouquins de Levy sont tout petits, il y a des fantômes dedans et c'est édité en blanche, pour exemple. Je crois que la blanche ne fait pas de distinction entre novella et roman comme nous en sfff).
Ad Astra fait dans la novella aussi (puisqu'ils ont pris la mienne), mais plutôt sf.
Edit : s'il s'agit (pour les deux à venir) de textes "long-mais-pas-tant" (genre, 75/100 000 signes, peut-être), peut-être qu'une revue pourrait être intéressée ?
Malpertuis fait du fantastique, mais je ne connais pas leur politique en terme de taille.
S'il s'agit de fantastique léger, ou de fable (genre le fantastique sud-américain, peut-être ?), tu peux tenter des maisons de blanche (les bouquins de Levy sont tout petits, il y a des fantômes dedans et c'est édité en blanche, pour exemple. Je crois que la blanche ne fait pas de distinction entre novella et roman comme nous en sfff).
Ad Astra fait dans la novella aussi (puisqu'ils ont pris la mienne), mais plutôt sf.
Edit : s'il s'agit (pour les deux à venir) de textes "long-mais-pas-tant" (genre, 75/100 000 signes, peut-être), peut-être qu'une revue pourrait être intéressée ?
Re: Que faire de nos novellas ?
Je vais passer pour un bleu complet... Ce que tu appelles "la blanche", c'est pocket ?pingu a écrit : S'il s'agit de fantastique léger, ou de fable (genre le fantastique sud-américain, peut-être ?), tu peux tenter des maisons de blanche (les bouquins de Levy sont tout petits, il y a des fantômes dedans et c'est édité en blanche, pour exemple. Je crois que la blanche ne fait pas de distinction entre novella et roman comme nous en sfff).
N'ayons pas peur d’aggraver notre cas... A quelles revue(s) penses-tu ?pingu a écrit : Edit : s'il s'agit (pour les deux à venir) de textes "long-mais-pas-tant" (genre, 75/100 000 signes, peut-être), peut-être qu'une revue pourrait être intéressée ?
Sinon, pour les pistes !
- blackwatch
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Re: Que faire de nos novellas ?
C'est la littérature générale, qui ne rentre dans aucun genre bien défini, comme la litt' noir/polar, la litt' rose ou de type Harlequin, etc.Ce que tu appelles "la blanche",
Re: Que faire de nos novellas ?
Oui, pardonne le jargon, ce qu'on appelle la blanche, c'est la littérature générale (les romans de tout poil, donc, publiés dans les maisons pas obligatoirement estampillées "sfff"). Je crois (mais ne suis pas certaine !) que c'est "historiquement" en référence à la collection blanche de Gallimard, mais c'est devenu un terme générique dans le milieu sfff.
Actes sud, par exemple, maison de "blanche", peut faire dans le fantastique (je me souviens du Cocher, lu dans ma jeunesse - une trad du suédois, il me semble).
Actes sud, par exemple, maison de "blanche", peut faire dans le fantastique (je me souviens du Cocher, lu dans ma jeunesse - une trad du suédois, il me semble).
Je sais par exemple que Bifrost a publié des grosses nouvelles d'environ 60 000 signes, mais je ne pensais pas à une revue en particulier, je lançais une piste de recherche.A quelles revue(s) penses-tu ?
- Vassago
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Re: Que faire de nos novellas ?
Je pense qu'à 200 000 signes, tu peux arriver à trouver des éditeurs prêts à publier le texte comme un court roman, s’ils ont un coup de cœur. Après tout, des classiques de la littérature comme Le vieil homme et la mer ou encore Des souris et des hommes sont des novellas.
- desienne
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Re: Que faire de nos novellas ?
Il y aurait peut-être aussi à regarder du côté de l'édition électronique, je pense -à mon avis- que le roman court ou la novella sont des formats intéressants pour les tablettes et autres "kindle-like" ou samsung note.
D'abord ça se lit vite (sur la plage, dans les transports, etc.) et comme c'est moins complexe qu'un roman complet ça réclame moins de concentration.
Après, soit tu t'inscrit toi même sur les plate-formes comme amazon ou apple,
soit tu contactes un éditeur qui saurait t'ouvrir l'univers numérique.
D'abord ça se lit vite (sur la plage, dans les transports, etc.) et comme c'est moins complexe qu'un roman complet ça réclame moins de concentration.
Après, soit tu t'inscrit toi même sur les plate-formes comme amazon ou apple,
soit tu contactes un éditeur qui saurait t'ouvrir l'univers numérique.
- Isaiah
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Re: Que faire de nos novellas ?
Sinon, pas mal de novellae sont publiées en lot de deux ou trois. Je pense au Tour d'Écrou de Henry James, souvent associé aux Papiers d'Aspern, par exemple. Ou les novellae de Kipling aussi. Idéalement, elles peuvent rentrer dans un recueil de nouvelles, aussi (un recueil, pas une antho !).