Ce que j'ai graissé et mis en italique m'a fait tomber de mon fauteuil : traquer l'abus d'être et avoir, oui, éviter de les utiliser comme auxiliaires... non ! Enfin, tout reste question de dosage, bien sûr, mais les temps composés (la moitié de la conjugaison française !) les utilisent, et ils ont quand même des sens à part entière (l'antériorité, l'achevé, l'accompli, etc.)hildegarde stracker a écrit :Moi cet après-midi (en passant je vous fait un petit coucou^^mais étant enfermé dehors, le net c'est chaud pour y venir, désolé^^), j'ai appris que pour soulagé la syntaxe et la globalité du récit, il valait mieux éviter les auxiliaire être, avoir et les verbes faire et aller. Alors, j'ai envie de dire : oui parce que ce sont des mots considérés comme """""faible"""""" mais non parce qu'ils sont justement des mots tellement utilisé qu'en réalité, il suffirait de contrôler leur venu pondéré, leur donnant ainsi, une plus grande force.
Si vous pas comprendre, normal, kéké is Sleeping awake^^.
Mais vous? Qu'en pensez-vous? Croyez-vous (ça fait beaucoup de vous, mine de rien^^) que c'est utile de s'y attarder?
Ne pas en mettre à tout bout de champ, c'est une chose, mais je pense qu'il y a pléthore de cas où s'interdire l'auxiliaire, c'est s'interdire un temps... et une signification. Du coup, je prendrais ce conseil avec de grosses pincettes.