Crazy a écrit :Kira a écrit :Roanne a écrit :Sur ce, je quitte vraiment le sujet pour retourner lire un charmant roman dont le 3ème tome s'est terminé sur une tournante, dont le perso masculin principal est du genre pervers narcissique, et qui reste une série que beaucoup de lectrices ressentent comme le summum du romantisme...
J'ai abandonné la série au moment de la tournante (iiik) et j'ai détesté le héros. Mon esprit romantique n'a pas résisté
C'est quel bouquin ?
La série "Fièvre".
(Kira, je termine par principe, mais plus ça va, plus j'ai du mal... surtout avec Barrons et sa clique, justement, et je viens à peine de passer la moitié du tome 4 ; je te ferai un résumé si tu le souhaites)
Saile a écrit :Je ne pense pas que ça vienne forcément d'un trouble caché de l'auteur ou du lecteur.
Moi non plus, et d'ailleurs ce n'est pas ce que j'ai dit (je pense que c'est dans notre nature, je ne suis pas une optimiste).
Ce que tu as soulevé au sujet des effets de mode est aussi très important.
En ce moment, la mode est au glauque d'un côté, à l'extrême mièvrerie de l'autre, bon, au moins, il y en a presque pour tous les goûts.
Après, il est certain que le "ton" d'un texte n'a rien à voir avec son côté moralisateur ou non. Désolée d'avoir dévié le sujet sur le premier, c'est clair qu'il faut déconnecter les deux notions. L'avantage en tant qu'auteur, c'est qu'on peut jouer avec ça. Ecrire des trucs tout légers en apparence et absolument horrible sur le fond, ou au contraire des trucs durs, difficiles, mais qui font ressortir des notions très morales et peuvent même dénoncer ce contre quoi il faut lutter pour défendre des valeurs...