En vérité, je faisais un résumé de ce que j'avais lu dans ce fil de discussion ;DJo Ann v. a écrit : ↑mar. juin 26, 2018 8:57 pmCe qui marche vraiment, c'est le bouche-à-oreille.Jurle-Lamar a écrit : ↑mar. juin 26, 2018 8:08 pmEn somme, c'est le placement en librairie qui a un réel impact sur les ventes, mais c'est la présence en salons/aux événements qui permet de faire connaître sa petite bouille.
Tu peux être anonyme, ne jamais te montrer, ne pas avoir de réseaux sociaux, ne jamais te déplacer.
Si le titre de ton livre circule, même numérique (donc pas du tout en librairie), c'est le jackpot. À partir de là, des éditeurs traditionnels, les plus « prestigieux » germanopratins même, vont aller te chercher.
Il y a d'autres romanciers qui même s'ils sont présents sur les réseaux, ne font pas de salons parce que géographiquement improbable, mais ça n'empêche pas qu'ils ont un succès fou.
La librairie a cessé d'être le plus du plus pour le succès (même si ça contribue pas mal, on est d'accord).
Par contre évidemment, le bouche à oreille est important, seulement, comment le déclencher ? Il faut taper dans l'oeil de quelqu'un avec une histoire vraiment sympa, qu'on ait des reviews ou des critiques, ou bien ça peut être totalement random comme certain-e-s l'ont fait savoir. C'est en ce sens, je crois, que les salons sont bénéfiques, car ils contribuent largement au bouche à oreille... Du moins, c'est l'image que je m'en fais, car pour ma part je fais du bouche à oreille pour pas mal d'autrices et d'auteurs que je découvre derrière les tables.
Ceci n'est que mon opinion, et celle-ci est amenée à changer, car je ne suis pas auteur publié, je n'ai donc pas eu affaire directement à tout ça, mais je côtoie assez de gens de l'édition ou d'auteur pour me faire une vague idée de la chose. (d'où le fait que je précise que ce n'est que mon opinion ; ne me crucifiez pas sur place <3 )