Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
- Ermina
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Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
Moi non plus, je ne suis pas toujours très gentille avec mes personnages.
Mais je suis d'accord, la surenchère n'est pas terrible : en tout cas, quand je la lis dans le roman d'un autre, ça me lasse très rapidement. Ca devient rapidement répétitif.
Personnellement, je suis plutôt pour le sous-entendu dans mes livres : de toute façon, je ne sais pas décrire le gore J'aime beaucoup aussi les romans psychologiques et les souffrances nées d'un choix terrible. Par exemple, j'ai un personnage dans ma Trilogie Timraza, qui est partagé entre sa conscience et son propre instant de survie qui lui dit de se soumettre aux ordres (Il appartient à une police politique qui n'hésite pas à employer la torture, cependant il l'ignorait en s'engageant).
J'aime bien quand les souffrances transforment le caractère du personnage, le font mûrir : les épreuves indispensables au scénario.
Sinon est-ce que je suis une auteure sadique ? Non, c'est que je les aime bien mes personnages et je les préfère heureux. Cependant, vu le nombreux d'épreuves que je leur réserve, je suis cruelle. Cependant, comme ça a déjà été dit, un roman où tout est rose n'est ni intéressant à lire, ni intéressant à écrire.
Mais je suis d'accord, la surenchère n'est pas terrible : en tout cas, quand je la lis dans le roman d'un autre, ça me lasse très rapidement. Ca devient rapidement répétitif.
Personnellement, je suis plutôt pour le sous-entendu dans mes livres : de toute façon, je ne sais pas décrire le gore J'aime beaucoup aussi les romans psychologiques et les souffrances nées d'un choix terrible. Par exemple, j'ai un personnage dans ma Trilogie Timraza, qui est partagé entre sa conscience et son propre instant de survie qui lui dit de se soumettre aux ordres (Il appartient à une police politique qui n'hésite pas à employer la torture, cependant il l'ignorait en s'engageant).
J'aime bien quand les souffrances transforment le caractère du personnage, le font mûrir : les épreuves indispensables au scénario.
Sinon est-ce que je suis une auteure sadique ? Non, c'est que je les aime bien mes personnages et je les préfère heureux. Cependant, vu le nombreux d'épreuves que je leur réserve, je suis cruelle. Cependant, comme ça a déjà été dit, un roman où tout est rose n'est ni intéressant à lire, ni intéressant à écrire.
Cycliste chocolatvore
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Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
Le devoir de l'auteur est de tirer tout ce qu'il peut de ses personnages. La souffrance, surtout psychique et morale, est un grand révélateur, même si ce n'est pas le seul.
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Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
Mon scénario ne peut pas avoir pitié de mes personnages. Si j'ai une bonne chute, et pas d'autres moyens d'y arriver que dans le sang, c'est tant pis pour eux et tant mieux pour moi.
(Mais j'ai beaucoup de mal à écrire du gore. )
(Mais j'ai beaucoup de mal à écrire du gore. )
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"Aux amres ! diuex et dmei-deiux !
Abtatnos ctete tyarnine,
Ce régmie set fsatideiux !
Puls ed necatr, puls d'abmriosie !"
Oprhée uax efners
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Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
Je n'ai aucune raison de ménager certains personnages sous prétexte que ce sont les héros, les bons, ou ceux que je préfère. Si la logique supérieure de l'histoire veut qu'ils en bavent, ils en baveront. Ca n'est pas nécessairement agréable à écrire, mais c'est juste une scène dans une histoire.
Par rapport à mes débuts, j'ai des personnages et des situations nettement plus tragiques aujourd'hui qu'il y a vingt ans, mais seulement quand c'est nécessaire. Je ne le fais pas pour des raisons autres que celles liées à l'histoire en cours - je ne cherche pas à faire de l'effet, ni à être commercial, ni à prendre mon pied en torturant un héros innocent (ou coupable, d'ailleurs). Il y a des personnages que j'ai essayé de sauver durant toute une histoire et je n'y suis pas parvenu. C'est comme ça.
Je ne suis pas sadique, comme l'a bien expliqué Macada, que je poutoune au passage. Par contre, je suis impitoyable et je l'assume. Pour moi, il n'existe aucune bonne raison littéraire de se censurer, aussi bien vis-à-vis de la souffrance que du sexe ou des sentiments. Si la scène sert l'histoire, cruelle ou pas, je m'efforcerai de l'écrire, parce que sinon je ne fais pas mon boulot d'écrivain jusqu'au bout.
Par rapport à mes débuts, j'ai des personnages et des situations nettement plus tragiques aujourd'hui qu'il y a vingt ans, mais seulement quand c'est nécessaire. Je ne le fais pas pour des raisons autres que celles liées à l'histoire en cours - je ne cherche pas à faire de l'effet, ni à être commercial, ni à prendre mon pied en torturant un héros innocent (ou coupable, d'ailleurs). Il y a des personnages que j'ai essayé de sauver durant toute une histoire et je n'y suis pas parvenu. C'est comme ça.
Je ne suis pas sadique, comme l'a bien expliqué Macada, que je poutoune au passage. Par contre, je suis impitoyable et je l'assume. Pour moi, il n'existe aucune bonne raison littéraire de se censurer, aussi bien vis-à-vis de la souffrance que du sexe ou des sentiments. Si la scène sert l'histoire, cruelle ou pas, je m'efforcerai de l'écrire, parce que sinon je ne fais pas mon boulot d'écrivain jusqu'au bout.
- Blanche
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Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
Je ne suis pas sadique, j'aime trop mes personnages pour ça, mais bon sang !
Qu'est-ce que je prends mon pied à les mettre dans des situations totalement invraisemblables !!!!
Je ne les fait souffrir que si l'histoire l'exige, mais ça ne dure jamais longtemps. Enfin, pas trop. Disons, pas tout le temps. Quand ça me convient. De temps en temps. Un peu. Bref.
Mais je ne suis pas sadique !
Qu'est-ce que je prends mon pied à les mettre dans des situations totalement invraisemblables !!!!
Je ne les fait souffrir que si l'histoire l'exige, mais ça ne dure jamais longtemps. Enfin, pas trop. Disons, pas tout le temps. Quand ça me convient. De temps en temps. Un peu. Bref.
Mais je ne suis pas sadique !
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Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
moi non plus, je ne pense pas être sadique. Je suis même devenue un peu bisounours. Si un roman devient trop violent, ça va me repousser.
En fait, quand j'étais plus jeune, mon écriture était davantage cathartique, alors je déballais tout et j'en faisais un max dans le gore.
Maintenant, ça m'intéresse moins. C'est peut-être pour ça aussi que je suis plus à l'aise en ce moment dans les textes jeunesses. Mes personnages traversent des épreuves, mais rien de cruel ou de vraiment sanglant. Cependant, c'est vrai que j'ai déjà lu des romans jeunesses terrifiant de ce point de vue (je pense à la Marque de la bête de Bousquet).
En fait, quand j'étais plus jeune, mon écriture était davantage cathartique, alors je déballais tout et j'en faisais un max dans le gore.
Maintenant, ça m'intéresse moins. C'est peut-être pour ça aussi que je suis plus à l'aise en ce moment dans les textes jeunesses. Mes personnages traversent des épreuves, mais rien de cruel ou de vraiment sanglant. Cependant, c'est vrai que j'ai déjà lu des romans jeunesses terrifiant de ce point de vue (je pense à la Marque de la bête de Bousquet).
ed. Pocket : Le roi des fauves / Les loups chantants / La mort du temps / Le dieu-oiseau
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Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
Ah non, je ne suis pas sadique. D'abord, j'aime pas quand ça se finit mal
Ensuite, les effusions de sang, c'est pas trop mon truc non plus. Je n'en mets que si c'est nécessaire.
Par contre, je torture pas mal mes personnages émotionnellement, je les mets face à des dilemmes cornéliens ou à des situations auxquelles ils sont obligés de faire face... Ca compte ?
Ensuite, les effusions de sang, c'est pas trop mon truc non plus. Je n'en mets que si c'est nécessaire.
Par contre, je torture pas mal mes personnages émotionnellement, je les mets face à des dilemmes cornéliens ou à des situations auxquelles ils sont obligés de faire face... Ca compte ?
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Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
Hmmm... Oui.
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Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
Je ne suis pas une auteur sadique. Ni même cruelle (enfin pas plus que nécessaire).
Au contraire : j'adore quand mes personnages prennent du bon temps !
(après avoir proféré cette énormité, je file lire vos réponses à cette grande question existentielle)
Au contraire : j'adore quand mes personnages prennent du bon temps !
(après avoir proféré cette énormité, je file lire vos réponses à cette grande question existentielle)
Vous n'aimez pas Noël ? ça tombe bien, nous non plus ! Du coup, avec Chapardeuse, nous vous invitons sur Wattpad pour (re)découvrir le Noël cataclysmique de Claire et Chan.
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Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
Sadique, non. Cruelle, oui.
Je ne fais pas souffrir mes personnages par plaisir. Il y a même des fois où ça m'ennuie de les voir déguster, mais que faire...
Je ne fais pas souffrir mes personnages par plaisir. Il y a même des fois où ça m'ennuie de les voir déguster, mais que faire...
Ma dernière parution: Realm of Broken Faces, le dernier opus des Récits du Monde Mécanique
Et les précédents: Smog of Germania et Scents of Orient !
Mon actualité d'auteur
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- Roanne
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Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
Que je ne suis pas d'accord avec cette affirmation !Macada a écrit :(Comme le dit Scipion, le problème des personnages heureux c'est qu'ils n'ont pas d'histoire. )
Car les personnes heureuses et conscientes de l'être sont celles qui ont le plus à perdre et souvent elles ont conscience de la fragilité de l'équilibre dans lequel elles s'épanouissent. Perturber cet équilibre et les voir se démener pour le rétablir, ça peut en faire des sujets de romans !
De plus, je reste persuadée qu'une grande partie du bonheur, du fait d'être heureux, c'est avant tout un état d'esprit.
Il y a des personnages, vous leur donnez tout sur un plateau, ils vont geindre.
D'autres, vous leur en mettez plein la gueule, ils trouveront le moyen de voir le bon côté des choses.
Bah oui, comme les vrais humains que nous sommes.
D'ailleurs, un film génial pour vous inspirer : Serial mother. Bon, il faut une bonne dose de second degré. Mais c'est dingue ce que l'on peut faire pour maintenir sa petite vie telle quelle est, dans son idéal de perfection...
(en fait, ça prouve juste que les gens heureux, il faut peut-être s'en méfier encore plus que les autres... )
Sinon, à titre perso, j'ai horreur de la surenchère en tant que lectrice. Il y a un moment où je me dis que tout est surjoué.
Le pire, c'est lorsque je réalise que dans la vie réelle, c'est impossible, un être humain normalement constitué aurait lâché prise / cassé un cable / que-sais-je-encore : quand les réaction et surtout la capacité d'encaissement des personnages ne me parait plus crédible, l'auteur m'a perdue. En général je repose le roman.
Vous n'aimez pas Noël ? ça tombe bien, nous non plus ! Du coup, avec Chapardeuse, nous vous invitons sur Wattpad pour (re)découvrir le Noël cataclysmique de Claire et Chan.
Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
Je dois avouer que j'aime mettre mes personnages devant des choix douloureux et distiller la souffrance dans leur tête. J'ai quelques « douceurs » en réserve pour la suite de mon premier volume. Un peu d'hémoglobine me va bien aussi, mais pas à toutes les pages.
Sinon dans la vie je n'arrache pas les pattes des sauterelles ni les ailes des mouches.
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- Milora
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Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
Moi je ne suis absolument pas sadique. Je déteste faire souffrir mes personnages.
Je ne veux pas dire qu'il ne leur arrive jamais rien ! J'ai écrit une novella qui commence par une scène où l'héroïne, droguée par un méchant, se fait balancer par une fenêtre, à moitié assomer par des attaquants, termine évanouie dans la rue, et finit par se faire torturer par de la magie noire xD
Mais ce sont juste des péripéties. Les personnages peuvent être physiquement blessés, être angoissés ou tristes, mais c'est par moments. Ce n'est pas vraiment de la souffrance, et ce n'est pas décrire leur souffrance qui m'intéresse. Surtout, je déteste les faire souffrir psychologiquement dans une situation où ils ne voient pas d'issue, où ils s'enlisent dans leur douleur. Ça, j'aime pas le lire, alors j'aime pas l'écrire. Je préfère la joie de vivre et l'optimisme
(maintenant, j'aime bien les faire tomber dans les pommes (après une blessure ou une épreuve physique trop dure), ou les attaquer sur leurs points faibles. Mais je ne le décris pas du point de vue de la souffrance... Je ne sais pas comment dire. Ça fait partie du scénario, mais ce n'est pas un thème en soi)
Je ne veux pas dire qu'il ne leur arrive jamais rien ! J'ai écrit une novella qui commence par une scène où l'héroïne, droguée par un méchant, se fait balancer par une fenêtre, à moitié assomer par des attaquants, termine évanouie dans la rue, et finit par se faire torturer par de la magie noire xD
Mais ce sont juste des péripéties. Les personnages peuvent être physiquement blessés, être angoissés ou tristes, mais c'est par moments. Ce n'est pas vraiment de la souffrance, et ce n'est pas décrire leur souffrance qui m'intéresse. Surtout, je déteste les faire souffrir psychologiquement dans une situation où ils ne voient pas d'issue, où ils s'enlisent dans leur douleur. Ça, j'aime pas le lire, alors j'aime pas l'écrire. Je préfère la joie de vivre et l'optimisme
(maintenant, j'aime bien les faire tomber dans les pommes (après une blessure ou une épreuve physique trop dure), ou les attaquer sur leurs points faibles. Mais je ne le décris pas du point de vue de la souffrance... Je ne sais pas comment dire. Ça fait partie du scénario, mais ce n'est pas un thème en soi)
Jour de pluie dans une cuisine (Le Mammouth éclairé)
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Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
Hier soir avant de m'endormir, j'ai pensé à la torture (je venais de regarder un document sur les tortures employées en France sous le régime de Vichy). Et vraiment, je me suis aperçu que j'aurais vraiment beaucoup de mal à écrire une scène de torture. Le principe même de la torture est tellement écoeurant, horrible, ce doit être une vrai épreuve que d'écrire ce genre de scène. Heureusement, je n'en ai pas prévue dans ma saga, je vais donc essayer de m'y tenir.
Wyvern is coming.
(challenge à venir... )
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Re: Etes-vous un(e) auteur(e) sadique ?
Je ne pense pas être sadique. Cruelle, oui. Torturer mes personnages ne me pose aucun problème. Quand c'est de la torture physique, je ne fais que suggérer, parce que je suis incapable d'écrire ce genre de scènes sans cauchemarder après.
La torture psychologique... A ce niveau là, je m'en donne à coeur de joie. La plupart de mes personnages ont de belles casseroles psys qui les handicapent au quotidien.
Et je suis contre le happy end. Tuer mon héros (ou mes héros, ça dépend) ne pose pas de soucis. A la rigueur, si ils restent en vie, il faut qu'il y ait de la casse en parallèle.
La torture psychologique... A ce niveau là, je m'en donne à coeur de joie. La plupart de mes personnages ont de belles casseroles psys qui les handicapent au quotidien.
Et je suis contre le happy end. Tuer mon héros (ou mes héros, ça dépend) ne pose pas de soucis. A la rigueur, si ils restent en vie, il faut qu'il y ait de la casse en parallèle.