Merci Siana de ton retour !
En lisant ton explication, tout me semblait tomber dans le sens (je sais donc ce qu'il me restera à faire dans mes corrections
)
Donc je pense que oui, je rejoins ton avis.
Sinon, je n'aime pas donner les noms, j'aime rester dans le vague, tant que je peux. Mes méchants ne se présentent en général pas, et donc n'ont pas de nom (point de vue interne du héros).
Par contre si à un moment d'une discution, le blond s'appelle Théodore, je n'ai aucun soucis à le garder nommé Théodore tout du long de l'histoire.
Je n'ai jamais encore eu la chance (ou le courage) de faire les corrections intégrales d'une de mes histoires, mais je ne me suis jamais retrouvé à avoir ce genre de soucis que vous évoquez.
C'est vrai que j'ai maintenant pris l'habitude de relever sur un document annexe les caractéristiques physique et mentale que j'administre à mes personnages, principaux ou secondaires.
Je n'ai aussi pas eu l'occasion d'avoir une histoire où des personnages secondaires ressurgissaient après un long moment d'absence. Et comme ils sont toujours un peu là, je n'oublie pas leurs principales caractéristiques.
Je vais réussir à donner des noms de rues à cause d'un élément graphique mais pas des noms coupés de l'histoire.
Par exemple, préciser que la "rue des marroniers" est bordée de grands et beaux marroniers sous lesquelles mon héroïne adore se balader, surtout en été, ne me posent aucun soucis, et restera dans ma mémoire.
Dire que elle passe par contre dans l'avenue de Paris, s'il n'y a aucun rapport avec Paris dans toute l'histoire va me poser plus de soucis.
Quand je dois nommer des personnages, qui n'auront aucun rôle dans l'histoire (appel, liste des morts) j'essaye de me livrer à des exercices comme de ne pas prendre plus de deux prénoms commençant par la même lettres, et pour les noms de familles, je m'inspire en général des noms de familles les plus courants, là où l'histoire se passe.