Oui, mais ces gens-là ne sont pas des éditeurs, mais s'ils en prennent le nom.MémoireDuTemps a écrit :Il est aussi dommage que l'article ne parle pas de l'arnaque des éditeurs qui font payer le gogo... mais là, inutile de tester avec un texte puisqu'ils ne le lisent même pas.
En ce qui concerne Robbe-Grillet, je n'aime pas ce qu'il écrit et je n'aime pas sa conception du roman, mais c'est une opinion purement personnelle, je le précise tout de même.MémoireDuTemps a écrit :Bon, je ne veux pas polémiquer avec toi, Beorn, surtout parce que ARG n'est pas, mais vraiment pas du tout un écrivain SFFF... le sujet intéresserait peu ici...
Oh il y en a, bien sûr. Moi même, j'y ai goûté.En tout cas... tu as trouvé une lectrice qui a lu "le pape du nouveau roman"
L'expérience me fait penser à l'affaire de cet auteur amateur anglais, qui avait envoyé le premier chapitre et le synopsis d'un roman de Jane Austen à dix-huit éditeurs. Il avait simplement changé le nom des personnages.
Résultat : dix-sept lettres-type de refus !
La presse britannique en avait fait ses choux gras...
Même si le sujet n'était pas les coachs littéraires mais la sélection des manuscrits, je trouve qu'avec Jane Austen en Grande Bretagne, la démonstration était plus convaincante.
http://www.20minutes.fr/article/171460/ ... Austen.php (en Français)
http://www.guardian.co.uk/uk/2007/jul/1 ... .booksnews (en Anglais)