Pour la contrainte, je voulais me prouver que j'étais capable de "réussir" avant de me lancer dans quelque chose de plus grand; C'est vrai que j'ai un petit côté défaitiste qui fait que si je ne sens pas que je "réussis", "fais bien", "fais mieux", j'ai l'impression que je vais pas y arriver (hello manque de confiance en soi^^).
Anaïs a écrit :Sujets fusionnés
Pour répondre à ta question, personnellement j'ai fait l'inverse : commencé par écrire des romans, compris que j'avais beaucoup de progrès à faire, essayé les nouvelles. Je n'ai pas vraiment été sélectionnée à un AT (sauf une nouvelle recyclée dans un webzine), mais l'envie de me remettre aux romans est venue, ce qui fait que je me suis lancée à nouveau.
Je crois qu'il vaut mieux ne pas partir dans des considérations de type "je fais ça parce que c'est plus facile". Plutôt voir ce qui te fait envie. Parce qu'on travaille toujours mieux quand on est motivé
Sinon, juste par curiosité :Pourquoi une telle contrainte ? Sans vouloir être défaitiste, la sélection à un AT n'est pas l'unique preuve qui existe que le texte est bon ou pas. Pour être pris, il faut non seulement que le texte soit bon, corresponde aux attentes de l'anthologiste... mais il faut aussi qu'il soit meilleur que les autres... Or, cette notion du mieux est extrêmement subjective.malicia a écrit :j'ai toujours eu l'intention de finir par passer au roman mais j'avais toujours dit "quand au moins un de mes textes sera sélectionné pour un appel à textes
Pour finir, n'oublie pas que quand on écrit un roman, on a l'occasion de développer d'autres facettes de son écriture.
Bref, dans tous les cas, du moment que tu écris, tu vas progresser. Donc écris ce qui te fait envie