Je viens d'aller relire mon message, prise d'un doute affreux... mais, non, j'ai bien parlé de "réticence" plutôt que de rejet. Et à aucun moment il n'y a de violence. Il est davantage de question de peur de l'inconnu, du fait de la méconnaissance de l'autre, mais les personnages qui sont d'abord réfractaires ("hostiles" serait trop fort ici) apprennent à connaître celui qui m'intéresse.Maden a écrit :Angua : le rejet est une forme de violence. Surtout ici, même si le personnage est louve-garou, on la rejette pour sa "différence", ce qui dans un contexte réaliste pourrait s'apparenter à du racisme, en gros. Et le racisme, comme idée, se transforme très vite en violence physique.
Je ne suis pas tout à fait d'accord avec ce que tu écris au sujet de l'évolution fréquente vers la violence physique entrainée par la différence, que ce soit le racisme ou une autre forme. Je suis intimement persuadée que le rejet a pour origine la méconnaissance, et l'incompréhension que ça peut entrainer, et que les situations sont nombreuses où, sans violence, les a priori peuvent être dépassés définitivement (dans la réalité comme dans la fiction). Le racisme peut certes se transformer en violence physique mais aussi en amitié, et disparaitre.