[A] Marques temporelles en SF (dans l'espace)
- Crazy
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Re: "dater" un récit de SF?
C'est pas tout à fait pareil ici, vu qu'on parle du calendrier "réel" et pas de celui d'un monde imaginaire
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Re: Les marques temporelles dans un roman de SF
Fusion opérée avec un sujet similaire.
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Re: "dater" un récit de SF?
Certes, mais ça pose un même problème de chronologie à établir et de vraisemblance. C'est pour ça que je l'ai indiqué en "connexe" et pas en "similaire"Crazy a écrit :C'est pas tout à fait pareil ici, vu qu'on parle du calendrier "réel" et pas de celui d'un monde imaginaire
(Merci Fred pour la fusion des sujets !)
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Re: Les marques temporelles dans un roman de SF
Une année lumière, c'est une unité de distance, pas de temps.
Sinon, pour répondre à ta question, je ne vois pas comment une planète pourrait se passer d'un système temporel adapté à elle, c'est à dire sa durée de rotation sur elle même et de révolution autour de son étoile. Donc, dans un monde englobant plusieurs planètes, je crois qu'il faut deux systèmes, un local et un universel.
Ça existe déjà sur Terre. Dans certains pays, on fait cohabiter un calendrier traditionnel avec le calendrier géorgien qui est devenu la référence internationale.
Sinon, pour répondre à ta question, je ne vois pas comment une planète pourrait se passer d'un système temporel adapté à elle, c'est à dire sa durée de rotation sur elle même et de révolution autour de son étoile. Donc, dans un monde englobant plusieurs planètes, je crois qu'il faut deux systèmes, un local et un universel.
Ça existe déjà sur Terre. Dans certains pays, on fait cohabiter un calendrier traditionnel avec le calendrier géorgien qui est devenu la référence internationale.
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Re: Les marques temporelles dans un roman de SF
En général, on prend l'étalon terrien
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En général dans les œuvres de space-op le système global est le système local de la planète où se situe le siège du gouvernement multi-planétaire...
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Re: Les marques temporelles dans un roman de SF
Oui, le souci c'est que lecteur doit avoir un ordre d'idée de ce que signifie une unité de temps dans cet "univers". Le plus simple est donc une mesure (heure, jour,...) terrienne comme référence. Quand ce n'est pas possible (la Terre n'existe pas ou n'a aucune importance), un truc assez simple est de suggérer que l'unité temporelle de référence de "l'univers" correspond à peu près à un équivalent terrestre. Exemple, un E.T. qui ressemble fort à une humain dort entre 6 et 8 sabliers donne l'idée qu'1 sablier c'est à peu près 1 heure, alors que s'il dort 12 à 15 sabliers, 1 sablier correspond plutôt à 1/2 heure (c'est un peu tiré par les cheveux, j'espère que tu vois ce que je veux dire).Luxia a écrit :Pourquoi ? Parce que c'est plus simple (à la fois pour l'auteur et pour le lecteur) ?
Parce que sinon, dans un univers ou on sait même pas si la terre existe encore, on pourrait avoir un étalon différent...
J'aime bien ton idée d'un temps universel défini par des lois physiques, mais il faudrait trouver un truc qui signifie quelque chose pour le lecteur. Comme celui-ci n'y connaît a priori rien en (astro)physique, je me dis que le lien peut être fait grâce au temps local. Genre : 1 sablier standard, c'est 10 fois le temps que met la lumière blanche pour aller d'un soleil à l'une de ses planètes de type terrestre et (surtout) ça correspond à 1,5 sablier local (c'est de plus en plus tiré par les cheveux, surtout qu'il doit exister une fourchette de distances assez large en fonction du type de soleil. Mais de nouveau l'idée y est.)
A noter que le choix de 10 (dans "10 fois le temps") suppose pour moi que le système numérique standard est décimal. Comme il n'y a pas de base universelle (les humains selon les cas et les cultures comptent en base binaire, base 8, décimale, base 12, hexadécimale, base 60,... ; les ET doivent aussi avoir leurs préférences) pourquoi pas une base qui a du sens pour les lecteurs ?
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Re: Les marques temporelles dans un roman de SF
Dans la série "le secret de Ji", l'univers compte le temps en base 10.
Certes, on se doute qu'une décille est ~ une seconde, mais pour le reste, on se perd assez vite entre ce qui tient lieu d'heures et de minutes
Bref, je te conseille d'utiliser les mesures "normales", histoire de ne pas compliquer inutilement ton récit.
Certes, on se doute qu'une décille est ~ une seconde, mais pour le reste, on se perd assez vite entre ce qui tient lieu d'heures et de minutes
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Re: Les marques temporelles dans un roman de SF
Sur la sonde voyager l'unité de temps "universel" envisagé pour un contact avec d'éventuels extra-terrestres est lié au spin de l'atome d'hydrogène... si tu tiens à t'adresser à des lecteurs qui ont un doctorat de physique...
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