Ca me fait rire : J'ai aussi pensé à dire pour les poésies que je trouve assez mal faites que ce sont des traductions de langues anciennes, ou bien que le personnage qui la chante reconnaît lui-même qu'il aurait pu faire du meilleur boulot. Mais je crois que je n'ai mis que celle dont je suis le plus fier pour l'instant, donc ça passe
Au niveau des chants elfiques... J'en ai lu aucun, mais j'avais 11 ans quand j'ai lu le SdA, donc ça légitime :p Depuis, j'ai jamais réussi à le relire, parce que j'ai quand même du mal avec le style Tolkien, et son côté manichéen.
Sinon, j'ai un endroit ou un personnage traduit les chansons d'un rituelle chamanisme, mais j'ai réussi (je pense) à en faire une "traduction" correcte, d'autant plus que je me suis aidé de mes cours d'histoire de religion pour la faire
[A] Poésie et contes insérés dans un roman
- Nuageux
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Re: Poésie et contes insérés dans un roman
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- Reven Niaga
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Re: Poésie et contes insérés dans un roman
Je trouve, comme beaucoup, que la poésie ou les contes peuvent amener beaucoup de profondeur dans l'univers. Ian Irvine en fait une excellente utilisation dans sa quadrologie "The View from the Mirror" (que je conseils à tout ceux qui n'ont pas l'anglais en horreur, car il me semble tout de même qu'il n'est point traduit en français, ce qui est un très grand dommage !). Entre quelques bouts de textes ici et là qui restent courts et bien éparpillés, un des héros, conteur et historien, qui ajoute des détails croustillants pour le lecteur en voyageant dans son monde, et les petites histoires racontées autour du feu ou pour changer les idées à un autre personnages dans une situation délicate… Ian Irvine a réussit à donner une consistance de plusieurs millénaires à son monde avec des petites astuces du genres !
Moi-même j'en écris, même si je ne vais pas nécessairement les insérer dans l'histoire finale. J'aimerai épargner les chansons de trois pages à mes lecteurs qui n'amènent pas grand chose au final (comme certaines poésies et chansons de Tolkien).
Ce qui a tendance un peu à me mettre à cran, c'est quand la poésie, le conte ou la chanson en question est une "langue étrangère" et que l'auteur l'insère tel quel dans son texte. C'est bien joli de voir qu'il a passé du temps à créer la langue, mais c'est un peu barbant si on a pas les moyens nécessaires pour décrypter, ou si la traduction tarde à venir. Les inscriptions de l'Anneau Unique dans Tolkien était, par exemple, très bien. Deux lignes en écriture bizarre et Gandalf qui ne tarde pas à dire leur signification.
Mais j'ai lu d'autres histoires où l'auteur aiment vous balancer des mots et phrases propres à l'univers avec un dictionnaire derrière pour aller chercher la traduction. Il n'y a rien de plus enquiquinant à mes yeux ! Vous allez me décourager à lire votre roman en moins de rien si vous me faites ça.
De ce fait, les contes, poésies et chansons dans la langue de ma race sont en général traduits, ou bien décris, avec juste quelques mots non-traduit ici est là. Le tout dépendra également du contexte : Un texte traduit à la volée aura un niveau de traduction à la volée, justement. Cependant, si le personnage a eu plus de temps pour faire son travail, le niveau sera plus poussé. Cela dépendra également du personnage. Mes Historiens et Bardes ont plus de facilité à traduire de suite avec un joli français, au contraire d'autres personnages aux occupations où ils sont moins en contact avec les langues.
J'aimerai que cela reste cohérent avec le personnage qui s'amuse à raconter.
Moi-même j'en écris, même si je ne vais pas nécessairement les insérer dans l'histoire finale. J'aimerai épargner les chansons de trois pages à mes lecteurs qui n'amènent pas grand chose au final (comme certaines poésies et chansons de Tolkien).
Ce qui a tendance un peu à me mettre à cran, c'est quand la poésie, le conte ou la chanson en question est une "langue étrangère" et que l'auteur l'insère tel quel dans son texte. C'est bien joli de voir qu'il a passé du temps à créer la langue, mais c'est un peu barbant si on a pas les moyens nécessaires pour décrypter, ou si la traduction tarde à venir. Les inscriptions de l'Anneau Unique dans Tolkien était, par exemple, très bien. Deux lignes en écriture bizarre et Gandalf qui ne tarde pas à dire leur signification.
Mais j'ai lu d'autres histoires où l'auteur aiment vous balancer des mots et phrases propres à l'univers avec un dictionnaire derrière pour aller chercher la traduction. Il n'y a rien de plus enquiquinant à mes yeux ! Vous allez me décourager à lire votre roman en moins de rien si vous me faites ça.
De ce fait, les contes, poésies et chansons dans la langue de ma race sont en général traduits, ou bien décris, avec juste quelques mots non-traduit ici est là. Le tout dépendra également du contexte : Un texte traduit à la volée aura un niveau de traduction à la volée, justement. Cependant, si le personnage a eu plus de temps pour faire son travail, le niveau sera plus poussé. Cela dépendra également du personnage. Mes Historiens et Bardes ont plus de facilité à traduire de suite avec un joli français, au contraire d'autres personnages aux occupations où ils sont moins en contact avec les langues.
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Challenge 2016 : Oséamune
Car le conteur se souçait peu de ce que devenait le monde.
Car le conteur se souçait seulement de son propre ennui.
Le Couloir des mondes
Germanophone de base
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