La mare aux nénuphars

Francis a écrit :En même temps, je ne peux pas leur jeter la pierre, car je sais que de l'autre côté, il y a des vrais tarés qui peuvent appeler tous les jours et être très virulents (diplomatie, quand tu nous tiens...)

Effectivement, il y en a. Pas beaucoup, mais il y en a.

Francis a écrit :Tu l'as modifié entre-temps ?

Oh, je dois avoir à peu près cent cinquante versions de ce texte.
C'est vrai, je l'ai modifié en permanence (je suis un drogué de la correction, au secours ! ) , mais pas de façon radicale non plus. Je ne sais pas si ça a joué.

Amaïs a écrit :Oh que oui ! Non seulement c'est très intéressant et instructif, mais en plus j'aime beaucoup le ton employé, mélange de réalisme, d'auto-dérision et de pédagogie. D'ailleurs, +1 avec Francis, c'est quand la suite ?

Rôôô !
Merci !
Il y a eu une nouveau billet hier soir.

Oh, je dois avoir à peu près cent cinquante versions de ce texte.
C'est vrai, je l'ai modifié en permanence (je suis un drogué de la correction, au secours ! ) , mais pas de façon radicale non plus. Je ne sais pas si ça a joué.

comment est-ce possible ?!
Pitié, dis moi que ce n'est pas contagieux!

Rôôô !
Merci !
Il y a eu une nouveau billet hier soir.

Excellent, ce billet sur l'art d'écrire à deux!
Tout à fait réaliste, et original.
Bravo à Silène et à toi, d'ailleurs

pour ce nouveau billet, tonton Beorn !
Wow, j'avais lu "cinquante versions", là j'ai mis mes lunettes, c'est en fait "cent cinquante versions". Je suis une petite joueuse à côté...
Je suppose que c'est le prix à payer quand on croit vraiment à fond à son oeuvre... Il faut accepter d'y travailler sans relâche, c'est aussi pour ça qu'il ne faut pas avoir peur des relances aux éditeurs (j'en remets subtilement une couche pour que ce post ne soit pas à 100% HS) : on travaille tellement sur nos romans, on leur doit bien ça !

Anaïs a écrit : pour ce nouveau billet, tonton Beorn !
Wow, j'avais lu "cinquante versions", là j'ai mis mes lunettes, c'est en fait "cent cinquante versions". Je suis une petite joueuse à côté...
Je suppose que c'est le prix à payer quand on croit vraiment à fond à son oeuvre... Il faut accepter d'y travailler sans relâche, c'est aussi pour ça qu'il ne faut pas avoir peur des relances aux éditeurs (j'en remets subtilement une couche pour que ce post ne soit pas à 100% HS) : on travaille tellement sur nos romans, on leur doit bien ça !

+1 Anaïs. Et les éditeurs nous doivent bien une réponse, je pense

Tout comme tonton Beorn : relancer, ça se fait, beaucoup d'éditeurs ne répondent qu'à ce prix d'ailleurs. Mais une relance polie, courte (histoire de pas faire perdre son temps à l'éditeur), et pas insistante (donc une au bout de trois mois minimum et, sauf indication contraire, pas de deuxième relance avant au moins trois autres mois.
Après, il y a aussi des éditeurs qui demandent qu'on les relance parce qu'ils savent qu'ils ont tendance à oublier

Perso, je relance quasiment toujours, et ça marche puisque j'ai souvent une réponse dans le mois qui suit, ou au moins un contact avec l'éditeur, qui me donne un délai plus précis que les indications générales et pas toujours à jour qu'on peut trouver sur le net.
Pour le moment, en revanche, je n'ai jamais eu à relancer pour des réponses positives. Mais relancer m'a parfois permis d'avoir une réponse détaillée, et surtout le nom d'un contact à qui envoyer directement le manuscrit la fois suivante