Sur quel ton finir le tome 1

Sujets inactifs depuis un an ou plus
Répondre
Rodolphe
Messages : 39
Enregistré le : ven. déc. 20, 2013 12:28 pm
Rang special : 5

Sur quel ton finir le tome 1

Message par Rodolphe »

bonjour les grenouilles,

A force de lambiner à droite à gauche sur le web, il ressort qu'il est plus prudent pour un jeune auteur de proposer à l'édition un roman de taille modeste ( 50/55 milles mots), qu'un volume plus conséquent.
Du coup, je vais couper mon histoire en deux, ce qui n'était pas prévu. Bientôt à la fin du volume 1, je me demande comment je dois le terminer. Je comptais évidement dévoiler toute mon intrigue à la fin de l'histoire. Cela ne change pas. Par contre, dois-je donner une sensation d'histoire terminée malgré tout? ( mes héros viennent à bout d'une conspiration qui en fait est une toute partie de l'intrigue. Mais le lecteur ne le sait pas encore à ce moment).
j'avais pensé dévoiler une grosse info qui trouvera son dénouement dans le volume 2. Puis-je le faire ou dois-je rester sur cette sensation de pseudo finit?
Merci à vous.

Rodolphe

Avatar du membre
Kushiel
Grenouille du far Ouest qui terrorise ses personnages et descend les PAL plus vite que son ombre
Messages : 12159
Enregistré le : sam. mai 31, 2014 4:49 pm
Rang special : Grenouille médicastre
Localisation : A l'Ouest

Re: Sur quel ton finir le tome 1

Message par Kushiel »

Ah !!!! Tu m'inquiètes :psychocoah:
Tu as lu ceci sur quels sites ?
A force de lambiner à droite à gauche sur le web, il ressort qu'il est plus prudent pour un jeune auteur de proposer à l'édition un roman de taille modeste ( 50/55 milles mots), qu'un volume plus conséquent
Je n'ai aucune expérience d'écrivain édité mais je me souviens d'un post d'Anaïs qui disait :
Pour parler de ma propre expérience, j'avais un projet de trilogie jeunesse. J'ai envoyé le premier tome à un petit éditeur en précisant qu'il y en avait deux autres en projet mais pas encore écrits (chuis gonflée quand j'y pense). Il l'a accepté, en me proposant de scinder ce tome en deux car il était trop lourd pour du jeunesse.
Ne crois-tu que tu devrais t'en remettre à un éditeur perspicace :heart: plutôt que de scinder artificiellement ton roman en deux ?
Trilogie Havensele
Nouvelliste chez Etherval, Aventures Oniriques et Compagnie, Gandahar, Géante Rouge

Nés de l'eau in imaginaires d'Asie

Avatar du membre
Scarlett
Batracien
Messages : 3
Enregistré le : lun. août 11, 2014 6:10 pm
Rang special : Another Space Oddity
Contact :

Re: Sur quel ton finir le tome 1

Message par Scarlett »

Rodolphe a écrit :Du coup, je vais couper mon histoire en deux, ce qui n'était pas prévu. Bientôt à la fin du volume 1, je me demande comment je dois le terminer.

Salut Rodolphe,

Je suis sceptique pour ce qui est de couper artificiellement ton roman en deux juste pour entrer dans le moule imposé par certains éditeurs. A priori, lorsqu'on écrit un roman destiné à être publié en deux parties, toute la construction de l'intrigue s'en ressent. On ne peut pas juste prendre un roman et le couper en deux (prends des romans que tu aimes bien et essaye, tu verras !), tout comme on ne peut pas prendre un film et le découper en épisodes de série TV. La construction narrative d'un "one-shot" est très différente de celle d'une saga en plusieurs tomes (il faut que l'action soit répartie sur les deux tomes, avec un certain équilibre...), et je pense que retravailler juste le dernier chapitre ne résoudra pas le problème.

Si vraiment c'est ce que tu veux faire, je te conseillerais de terminer ton tome 1 sur un cliffhanger, un truc au suspense insoutenable qui donnera au lecteur une envie folle de lire la suite ! ^^

Pour ce qui est des jeunes auteurs et des romans courts, 50 000 mots me semble quand même bien maigre comme limite... Il y a de nombreux auteurs dont le premier roman est un "pavé" de 500 pages ou plus ! Après, tout dépend de ta cible - si c'est jeunesse, effectivement, il ne faut pas que ce soit trop long, parce que ça peut décourager le jeune lecteur. Mais si c'est adulte ou young adult, je ne vois pas pourquoi il faudrait une limite... Sauf si vraiment ton roman a l'épaisseur de la Bible, mais bon, c'est quand même rare :mrgreen: Ça peut aussi dépendre des maisons d'éditions : certaines imposent des limites qui leur sont propres.

Comme le disait Kushiel, le mieux est encore de parler de ça avec un éditeur. Si tu envoies ton manuscrit et qu'un éditeur le remarque, c'est que le contenu a retenu son attention. La forme, c'est secondaire, ça se discute...
« 'I shall have heroin, but I shan't have a hamburger.' What a sexy little paradox. »
Mon blog BD
Mon site d'illustratrice

Avatar du membre
Anaïs
Kiwity
Messages : 6727
Enregistré le : mer. août 07, 2013 9:30 am
Rang special : kiwi powaaa
Localisation : à 12740 km de profondeur
Contact :

Re: Sur quel ton finir le tome 1

Message par Anaïs »

Hello !

Wow, on me cite !

Il y a pas mal de sujets qui peuvent t'intéresser dans Plume dans la Palme :
Taille des romans jeunesse
Premier tome fini. On attaque le deuxième ?
L'accroche du lecteur entre les tomes d'une série
D'un tome à l'autre

Il y en a peut-être d'autres, il ne faut pas hésiter à fouiller l'index créé par Crazy avant de créer un nouveau fil.

Deux choses ressortent des discussions sur la Mare :
- les romans jeunesse ne doivent pas être trop longs, surtout pour un auteur qui débute
- souvent les nouveaux auteurs commencent par écrire une longue saga, quand un one-shot est plus facile à placer

Après, tout dépend de ce que tu veux réellement faire. Si ton histoire se prête réellement à un découpage en deux tomes, pourquoi pas ? Moi c'était le cas (en fait, je me suis demandé après coup pourquoi je n'en avais pas pris conscience toute seule). Mais si c'est pour rallonger la sauce inutilement, peut-être vaut-il mieux faire l'effort inverse, et condenser. Il n'y a pas de conseil unique, juste plusieurs solutions, à toi de voir.

Bon courage en tout cas !
Site/blog, deux pour le prix d'un !
Toute la saga des Puissances de Nilgir est disponible !

Avatar du membre
sherkkhann
C'est moi que tu regardes ?
Messages : 3634
Enregistré le : mer. janv. 20, 2010 4:33 pm
Rang special : hu

Re: Sur quel ton finir le tome 1

Message par sherkkhann »

Je rejoins complètement l'avis de scarlett. Si ton histoire n'a pas été pensé comme un one shot, le couper en deux va te demander un travail conséquent. Je serais plus d'avis de ne pas trop se soucier de ce que disent les éditeurs :) faut faire le tri dans les conseils qu'on pêche à droite à gauche. Après, à toi de voir.

Rodolphe
Messages : 39
Enregistré le : ven. déc. 20, 2013 12:28 pm
Rang special : 5

Re: Sur quel ton finir le tome 1

Message par Rodolphe »

bonjour à tous,

@Kushiel
Ah !!!! Tu m'inquiètes
Tu as lu ceci sur quels sites ?
Ben en fait, en essayant de comprendre les lignes éditoriales et des maisons d'éditions. C'est des infos que j'ai recoupés de plusieurs sources. Mais c'est vrai, ça n'en fait pas une vérité absolue.

@ Scarlett,

De mon côté, mon synopsis n'est pas bouclé à 100%, car je me suis aperçu pendant la rédaction, qu'un personnage par exemple devait partir dans une autre direction. Du coup, j'ai un peu de place, beaucoup même pour finir de modeler mon histoire. De plus, effectivement, il y a des histoires qui ne peuvent pas se scinder. Moi, je vais arriver à un point de l'intrigue où c'est faisable ( enfin, d'aprés moi ^^ ).
En ce qui concerne les moules des éditeurs, d'une manière objective, je crois que tout auteur qui se fait publier se voit demander des réglages plus ou moins importants. Ce qui fait par définition, qu'il rentre dans un moule. D’après moi, il faut s'appeler Stephen King pour se permettre de s'affranchir des contraintes éditoriales. Si j'ai bien compris, un manuscrit est lu par un comité de lecture ( selon l'importance de la maison) et ensuite file au directeur de publication. Qui bien souvent sont seul à ce poste. Et A la prise de décision. Il aura donc les mêmes attentes dans ce qu'il publiera et orientera les corrections en conséquences.
Mais si c'est adulte ou young adult, je ne vois pas pourquoi il faudrait une limite...
Pour le coût. Il coûte plus cher de faire imprimer 500 pages que 250. A voir après si les éditeurs veulent prendre ce risque avec un premier roman.
Dans tous les cas, ce n'est pas ma seul motivation pour la coupe de mon roman. Il me semble également, et c'est important pour moi, que j'arriverai mieux à le retravailler s'il est coupé en deux.

@ Anais,
Je trouve aussi que ce serait inutile de rallonger la sauce inutilement. Je ne suis pas pour la principe. Je le fait plutôt dans un soucis de confort et d'opportunité. J'arrive à un moment de mon histoire où je peux me le permettre. Si ce n'était pas le cas, je ne le ferais pas. Pour moi, prime la cohérence du roman.

@ Sherkkhann,
Je suis d'accord avec toi. Comme je le disais, je le fais aussi dans un soucis de confort. Je ne pense pas encore à trouver un éditeur, il est beaucoup trop tôt! Cependant, je trouve interressant d'avoir une petite vision de cette phase.

Avatar du membre
Colcoriane
Maîtresse dentelière des mots
Messages : 1259
Enregistré le : jeu. nov. 24, 2011 1:47 am
Rang special : -
Contact :

Re: Sur quel ton finir le tome 1

Message par Colcoriane »

Je ne sais pas trop où tu as eu cette info des 50k mots maxi, mais ce n'est pas vrai pour tous les éditeurs. Je peux me tromper, mais il me semble que de manière générale les romans SFFF sont facilement plus longs que les romans de blanche, et il faut donc tenir compte du genre concerné par les conseils donnés.
Si tu regardes le GGG, tu peux voir qu'un certain nombre d'éditeurs SFFF demandent un minimum de 400 ou 500 ksec pour les romans adultes (ou YA), ce qui représente environ 65-80k mots. Les maximums tournent facilement autour de 800 à 1000 ksec, soit bien plus de 100k mots. Pour d'autres, ce sera maximum 300 ksec, mais il y en a moins. Certains donnent une taille différente selon le genre : les romans fantastiques peuvent être plus courts que les romans SF par exemple. Mais en fait, la grande majorité ne donne pas de taille : c'est l'histoire qui détermine la place qu'elle doit prendre.

Mon conseil, ce serait de faire ce qui te parait le mieux pour toi et pour ton histoire, sans t'inquiéter outre mesure des attentes des éditeurs en terme de taille : à ce niveau-là, il y en a pour tous les goûts. Il sera toujours temps, une fois que tu auras terminé ton manu, de voir quels seront les éditeurs potentiellement intéressés.
Colcoriane
Anim'autrice : animatrice indépendante d'ateliers d'écriture :stylo:
Venez travailler vos techniques d'écriture dans mes ateliers en visioconférence !
Site internet ~ Facebook

Avatar du membre
Cerane
D'une flèche, a touché le coeur de Super Grenouille
Messages : 709
Enregistré le : ven. déc. 27, 2013 3:00 pm
Rang special : Randonneuse
Localisation : Où l'imagination me transporte
Contact :

Re: Sur quel ton finir le tome 1

Message par Cerane »

Mon avis rejoint celui de Colcoriane,
Écris ton histoire sans te soucier de la longueur et ensuite tu pourras voir si elle se prête à un découpage.

Dans mon cas, j'étais partie pour un one-shot et finalement l'histoire s'est coupée d'elle même en deux.
Je n'ai pas encore terminée la deuxième partie donc peut-être qu'il y en aura trois ou que je reviendrais à un one-shot.

C'est avant tout l'histoire et on style qui feront qu'une maison d'édition sera intéressée ou non par ton roman, ensuite elle posera ses conditions pour te faire rentrer dans le moule, si elle le souhaite.

Pour ce qui est des 50/55K mots :psychocoah:
Mon premier tome fait près de 100k :ronge:

Mais tant pis, je pense que beaucoup ici écrivent d'abord pour se faire plaisir, même si l'édition reste l'apogée. Il sera toujours temps de redécouper, rallonger, retravailler, déplacer quand ton récit sera fini.
(¯`°v°`¯)
..(_.^._)..
Randonneuse dominée guidée par ses personnages.


Avatar du membre
Roanne
Reine du shooting photo
Messages : 8246
Enregistré le : dim. juil. 09, 2006 6:42 pm
Rang special : Super Roanne
Localisation : Avec les lutins de l'Hermitain
Contact :

Re: Sur quel ton finir le tome 1

Message par Roanne »

Lili A a écrit :Écris ton histoire sans te soucier de la longueur et ensuite tu pourras voir si elle se prête à un découpage.
Pour ma part, d'expérience, je donnerai l'avis complètement inverse !

En effet, le souci n'est pas tant de trouver le "ton" de la fin d'un tome 1 que de structurer correctement un récit entre le tome 1 et le tome 2, ce qui n'a rien à voir avec le simple fait de "couper en 2".

Comme je le signale, je parle d'expérience.
Mon premier roman est un one-shot qui, par sa longueur, a été coupé en 2 de façon artificielle et... ça ne colle pas d'un point de vue structure. Quoi qu'il arrive, même coupé en 2, ce diptyque forme un seul et même roman.
Résultat, c'est problématique pour de nombreux lecteurs car, arrivés à la fin du "livre 1" (qui n'est pas un "vrai" tome 1, puisque pas conçu comme tel), ils restent sur leur faim.
Honnêtement, je pense que lorsqu'on vise l'édition, c'est hyper casse bonbon !

Il vaut mieux savoir exactement ce que l'on veut écrire comme histoire et calibrer son roman en fonction.

Quand on veut vraiment transformer un one-shot en un diptyque, avec des tomes bien distincts, chacun ayant son intrigue principale et un minimum de portes fermées entre les deux, et que le roman est déjà écrit, il faut s'attendre à des corrections / ajustements structurels importants. Pour ma part, je ne l'ai pas fait (ça aurait été trop de travail) et si certains lecteurs ont suivi, d'autres pas du tout. Quant aux éditeurs, ça a été l'un des arguments de refus (= pas vendeur comme format) pour certains.

Après, chacun fait ce qu'il veut, d'autres auront peut-être une expérience différente.
A mon sens, l'un des exercices délicats pour un auteur, c'est d'apprendre à maîtriser la taille et la structure de ses textes.
D'un point de vue éditorial, j'ai fait un choix stratégique complètement à côté de la plaque avec mon premier roman, cela a fait partie de mon apprentissage, je ne referai pas cette erreur ; du coup, je préfère prévenir et conseiller aux autres auteurs de l'éviter aussi.
(de toute façon, en général, même calibrés en 2 tomes bien propres et conçus comme tels, les diptyques n'ont pas la côte chez les éditeurs, il me semble)
Vous n'aimez pas Noël ? ça tombe bien, nous non plus ! Du coup, avec Chapardeuse, nous vous invitons sur Wattpad pour (re)découvrir le Noël cataclysmique de Claire et Chan.

Avatar du membre
Francis Ash
Le jaune fluo, c'est trop beau !
Messages : 2277
Enregistré le : mar. nov. 19, 2013 8:19 pm
Rang special : une guitare dans une main un clavier dans l'autre
Localisation : Jamais bien loin ;)
Contact :

Re: Sur quel ton finir le tome 1

Message par Francis Ash »

Les 50/55K mots dont tu parles me semblent peu. Je rejoins ici Colcoriane qui cite le GGG, en SFFF adulte / YA, c'est peu. À titre d'exemple, quand Hachette organise ses Tremplins pour le YA, ils conseillent 500K SEC. Récemment, une grenouille a vu son manuscrit refusé par France Loisir parce qu'il était trop petit (420K, ils cherchent plutôt du 500K).
Par ailleurs, d'autres collections se sont affranchies des contraintes de taille en lançant en première intention les ouvrages en numérique. C'est le cas de la collection Snark de Bragelonne ou d'Emma pour Milady.
La question de la taille reste donc relative. (bon, tant qu'on n'est pas sur des pavés de 1000 pages, s'entend. ^^)
En revanche, l'idée de scinder un roman en deux artificiellement ne me semble pas judicieuse. Déjà parce que ton roman n'a pas été prévu comme ça au départ, et donc les coutures risquent de se voir.
Ensuite parce que les éditeurs préfèrent lancer un nouvel auteur avec un stand alone. Si tu coupes ton roman en deux, ça fera un diptyque, et les éditeurs n'en raffolent pas en général.
Le mieux est d'écrire ton roman de ton mieux, de le rendre aussi captivant que possible sans te soucier des préoccupations éditoriales pour le moment. C'est tout à fait normal, presque naturel, de vouloir être édité. Mais les voix des éditeurs sont impénétrables ! :ange:
Je ne peux que te conseiller de rester concentré sur ton histoire, tes personnages, tes ambiances, tous les détails qui font qu'à la lecture, on oublie le nombre de pages ;)

EDIT : grillé par Roanne :)
Pour les fans de gros rock metallique : Ma chaîne Youtube

Rodolphe
Messages : 39
Enregistré le : ven. déc. 20, 2013 12:28 pm
Rang special : 5

Re: Sur quel ton finir le tome 1

Message par Rodolphe »

merci à tous de faire partager vos expériences, qui m'éclairent beaucoup!
Il est vrai que 50k mots peut paraître dérisoire pour de la SFFF, genres qui ont pour habitume ( habitude et coutume :lol: ) de gratifier le lecteurs de volumes importants.
Dans mon cas, l'histoire complète ne devrait pas être énorme...arrivant vers la moitié de l'histoire, je pense terminer autour de 100k mots. C'est de toute façon, les besoins de l'histoire qui auront le dernier mot.
En définitif, vu que mon histoire n'a pas été conçu comme un diptyque, je vais rester sur mon one-shot. D'autant qu'effectivement, je n'avait pas pris en compte comme le souligne Francis Ash, la partie numérique de l'édition.
C'est tout à fait normal, presque naturel, de vouloir être édité. Mais les voix des éditeurs sont impénétrables !
Je ne peux que te conseiller de rester concentré sur ton histoire, tes personnages, tes ambiances, tous les détails qui font qu'à la lecture, on oublie le nombre de pages
C'est très vrai et joliment dit ^^, mais c'est casse bonbons aussi !! :p

Anonyme_Quatre

Re: Sur quel ton finir le tome 1

Message par Anonyme_Quatre »

d'autres collections se sont affranchies des contraintes de taille en lançant en première intention les ouvrages en numérique.
Hum, il n'y a pas que l'impression qui coûte plus cher quand c'est plus gros ;) Les correcteurs y passent plus de temps, les directeurs littéraires aussi (l'auteur aussi, souvent), etc. etc.

Avatar du membre
Francis Ash
Le jaune fluo, c'est trop beau !
Messages : 2277
Enregistré le : mar. nov. 19, 2013 8:19 pm
Rang special : une guitare dans une main un clavier dans l'autre
Localisation : Jamais bien loin ;)
Contact :

Re: Sur quel ton finir le tome 1

Message par Francis Ash »

Nariel Limbaear a écrit :
d'autres collections se sont affranchies des contraintes de taille en lançant en première intention les ouvrages en numérique.
Hum, il n'y a pas que l'impression qui coûte plus cher quand c'est plus gros ;) Les correcteurs y passent plus de temps, les directeurs littéraires aussi (l'auteur aussi, souvent), etc. etc.
Exact ! Malgré cela, Snark parvient à proposer des oeuvres de tailles et de types variés, du roman court comme Fortune cookies à la série comme les Foulards Rouges, dont les 7 épisodes doivent faire un certain nombre de caractères (pour ne citer que des oeuvres de grenouilles ;))
Certes c'est autant de boulot pour l'auteur et pour l'éditeur, mais les équipes sont costaud et Bragelonne aime prendre des risques et chercher de nouveaux publics avec de nouvelles collections. Et le numérique permet de minimiser les risques en cas d'échec quand même.
Pour les fans de gros rock metallique : Ma chaîne Youtube

Avatar du membre
desienne
Papy Zombie du futur, Pape du Pulp
Messages : 1686
Enregistré le : ven. déc. 14, 2007 11:45 pm
Rang special : Batracien
Contact :

Re: Sur quel ton finir le tome 1

Message par desienne »

Si vraiment c'est ce que tu veux faire, je te conseillerais de terminer ton tome 1 sur un cliffhanger, un truc au suspense insoutenable qui donnera au lecteur une envie folle de lire la suite !
=> je dirais + 100 (en même temps je suis pas forcément objectif là dessus)

Sinon, je rejoins Roanne : c'est une bonne chose d'avoir une idée de "la mesure éditoriale" avant de se lancer, surtout si on vise l'édition.
Ce sont peut-être des choses à définir au niveau du synopsis de travail ?

Rodolphe
Messages : 39
Enregistré le : ven. déc. 20, 2013 12:28 pm
Rang special : 5

Re: Sur quel ton finir le tome 1

Message par Rodolphe »

Ce sont peut-être des choses à définir au niveau du synopsis de travail ?
Il me semble aussi. Mon synopsis était pour un one-shot.
Mais en même temps, j'ai conduits certains évènements à des endroits que je n'aurais pas pu définir dans un syno. Je m'apercevais au fur et à mesure de la rédaction que je devais prendre telle direction.
Je pense aussi qu'il faut avoir une idée de ce qui peut nous être demandé si l'on vise l'édition. ça doit éviter certaines grosses déconvenues.

Répondre