Incipit (ou Première Phrase) faut-il y réfléchir jusqu'à l'obsession ?
Posté : dim. janv. 09, 2022 8:51 pm
Bonsoir à vous chères grenouilles, je n'ai pas la réponse .
Mais je me suis promené aux quatres coins de la mare à travers l'outil recherche et je n'ai pas découvert de sujet semblable à celui-ci.
Quand on commence un récit, il se peut qu'on subisse le traumatisme de la page blanche. La première phrase/paragraphe, ou plus professionnellement, incipit, aura la lourde tâche de donner l'envie au lecteur de tourner les pages.
Comment et par où commencer ; Quel est l'incipit, idéal ?
Évidemment il va de soit que la plupart des questions peuvent être répondu par; Il faut se référer au cas par cas. Au lectorat qu'on vise, surtout s'il s'agit d'un Tome X>1. Mais bon, pierre qui roule n'amasse pas mousse alors c'est parti.
1. Question de style ;
Il se pourrait que votre histoire doive être narré de façon peu conventionnelle ou comporte des termes spécifiques.
Ex;
Des lettres envoyées à sens unique ou une correspondance, un enregistrement audio, un manuel de survie, une simple rencontre limité dans le temps, un évènement qui cherche a perdre le lecteur en lui cachant des informations, sans parler des différentes temporalité qui pourrait affecter le vocabulaire...
Bref, faut-il expliciter des le début, le modus operrandi de cette narration, ou laisser des indices au long de celle-ci qui permettraient une déduction implicite ?
Par ailleurs, est-il nécessaire d'amoindrir notre style, afin d'accomoder le lecteur, puis d'augmenter pas a pas notre bible (structure qui rasesemble les termes utilisés par notre style).
J'en profite pour recommender l'utilisation d'une bible, et ce quelque soit la difficulté de votre style.
Poursuivons.
2.Question de moralité
Dans le cas où votre roman/nouvelle soit porteur d'un message moral spécifique, type: Le crime paye a court terme, mais finit mal. Ou bien l'inverse, si vous voulez exprimer une vision plus négative, en revanche il faudra être minutieux, afin de ne pas les propager favorablement. Cas; Lolita.
Trêve de disgression qui existent déjà, je crois que la question est simple; faut-il l'inclure dès l'incipit, et si oui est-ce que ce doit être implicitement ou explicitement. Pour ma part, je tend à penser que si la morale est présente explicitement dès l'incipit, elle doit obligatoirement être réfuté. Type; Je suis une légende.
3. Question d'indépendance
Attaquons en fin le sujet le plus important et le plus complexe.
Est-ce que notre incipit doit se suffire à lui même ?
Et de par ce faite, peut-il être une sorte de mini-nouvelle.
Comme celle proposée par William R. Kane et reatribué plus tard à Hemingway ; "À vendre; Chaussures de nourrisson, jamais porté.". On pourrait en écrire un conte entier.
Ou bien Harry Potter de J.K Rolling, qui, sans être une nouvelle, se suffit à elle même.
"Mr et Mrs Dursley, qui habitaient au 4, Privet Drive, avaient toujours affirmé avec la plus grand fierté qu’ils étaient parfaitement normaux, merci pour eux »
Qui tente par tout les moyens de fermer l'histoire.
4. Question de longuer (Petit Point)
J'ai précédemment affirmé que l'incipit peut être la première phrase comme le premier paragraphe.
Du coup mettons nous d'accord avec une citation de David Lodge; L'incipit est le nombre de mots nécessaire pour faire basculer le lecteur dans le monde de l'auteur.
Bien personnellement, je rajouterai qu'il faut pas non plus qu'il soit trop long pour que le lecteur puisse survivre à la chute.
Et que dire de l'Explicit (dernier mots d'une œuvre) ou des chapitres (cliffenguers et j'en passe).
Si quelqu'un souhaite partager un incipit qui convalidrait ou annulerait ma théorie, qu'il ne se gêne pas.
Mais je me suis promené aux quatres coins de la mare à travers l'outil recherche et je n'ai pas découvert de sujet semblable à celui-ci.
Quand on commence un récit, il se peut qu'on subisse le traumatisme de la page blanche. La première phrase/paragraphe, ou plus professionnellement, incipit, aura la lourde tâche de donner l'envie au lecteur de tourner les pages.
Comment et par où commencer ; Quel est l'incipit, idéal ?
Évidemment il va de soit que la plupart des questions peuvent être répondu par; Il faut se référer au cas par cas. Au lectorat qu'on vise, surtout s'il s'agit d'un Tome X>1. Mais bon, pierre qui roule n'amasse pas mousse alors c'est parti.
1. Question de style ;
Il se pourrait que votre histoire doive être narré de façon peu conventionnelle ou comporte des termes spécifiques.
Ex;
Des lettres envoyées à sens unique ou une correspondance, un enregistrement audio, un manuel de survie, une simple rencontre limité dans le temps, un évènement qui cherche a perdre le lecteur en lui cachant des informations, sans parler des différentes temporalité qui pourrait affecter le vocabulaire...
Bref, faut-il expliciter des le début, le modus operrandi de cette narration, ou laisser des indices au long de celle-ci qui permettraient une déduction implicite ?
Par ailleurs, est-il nécessaire d'amoindrir notre style, afin d'accomoder le lecteur, puis d'augmenter pas a pas notre bible (structure qui rasesemble les termes utilisés par notre style).
J'en profite pour recommender l'utilisation d'une bible, et ce quelque soit la difficulté de votre style.
Poursuivons.
2.Question de moralité
Dans le cas où votre roman/nouvelle soit porteur d'un message moral spécifique, type: Le crime paye a court terme, mais finit mal. Ou bien l'inverse, si vous voulez exprimer une vision plus négative, en revanche il faudra être minutieux, afin de ne pas les propager favorablement. Cas; Lolita.
Trêve de disgression qui existent déjà, je crois que la question est simple; faut-il l'inclure dès l'incipit, et si oui est-ce que ce doit être implicitement ou explicitement. Pour ma part, je tend à penser que si la morale est présente explicitement dès l'incipit, elle doit obligatoirement être réfuté. Type; Je suis une légende.
3. Question d'indépendance
Attaquons en fin le sujet le plus important et le plus complexe.
Est-ce que notre incipit doit se suffire à lui même ?
Et de par ce faite, peut-il être une sorte de mini-nouvelle.
Comme celle proposée par William R. Kane et reatribué plus tard à Hemingway ; "À vendre; Chaussures de nourrisson, jamais porté.". On pourrait en écrire un conte entier.
Ou bien Harry Potter de J.K Rolling, qui, sans être une nouvelle, se suffit à elle même.
"Mr et Mrs Dursley, qui habitaient au 4, Privet Drive, avaient toujours affirmé avec la plus grand fierté qu’ils étaient parfaitement normaux, merci pour eux »
Qui tente par tout les moyens de fermer l'histoire.
4. Question de longuer (Petit Point)
J'ai précédemment affirmé que l'incipit peut être la première phrase comme le premier paragraphe.
Du coup mettons nous d'accord avec une citation de David Lodge; L'incipit est le nombre de mots nécessaire pour faire basculer le lecteur dans le monde de l'auteur.
Bien personnellement, je rajouterai qu'il faut pas non plus qu'il soit trop long pour que le lecteur puisse survivre à la chute.
Et que dire de l'Explicit (dernier mots d'une œuvre) ou des chapitres (cliffenguers et j'en passe).
Si quelqu'un souhaite partager un incipit qui convalidrait ou annulerait ma théorie, qu'il ne se gêne pas.