[A] Le héros qui tue
Posté : mer. sept. 30, 2009 2:28 pm
Ca vous inspire quoi ?
Je pense au "héros" ou "personnage" qui fracasse...des crânes.
Des exemples où les personnages sont des tueurs, des habitués (Gagner la Guerre, pour citer je crois, la seule référence dont je dispose), il y en a...la chose y est facilitée.
Mais si le personnage est une personne "normale" dans ses grandes lignes (vous allez explorer autre chose chez lui), comment placer la mort dans son quotidien ? Je pense à ces personnages qui se battent, dont on s'évertue à définir une psychologie. Puis voilà qu'on les fait tuer. Qu'ils se soient défendus, qu'ils aient attaqué, sauvé une vie en échange, voire défait le méchant...qu'est-ce qu'il va se passer ? A quel point en tenir compte ?
A mille différents degrés, et de mille façons différentes peut-être, et on aurait raison de le dire comme ça. Est-ce une facilité que de reléguer systématiquement la question de "tuer" ? Créerait-on un personnage qui ne tuerait pas, dans le cas extrême opposé ?
Tout est possible évidemment, dans l'idée. Mais j'aimerais savoir comment vous avez (ou pas) bûté là dessus en écrivant une telle scène. J'aimerais savoir si un point de non retour est atteint, pour un personnage qui tue.
Si vous pensez que la question de "tuer" est directement liée, dans mon esprit, au fait que j'utilise plus le terme "héros" que personnage, vous pouvez aussi le faire remarquer...
Je pense au "héros" ou "personnage" qui fracasse...des crânes.
Des exemples où les personnages sont des tueurs, des habitués (Gagner la Guerre, pour citer je crois, la seule référence dont je dispose), il y en a...la chose y est facilitée.
Mais si le personnage est une personne "normale" dans ses grandes lignes (vous allez explorer autre chose chez lui), comment placer la mort dans son quotidien ? Je pense à ces personnages qui se battent, dont on s'évertue à définir une psychologie. Puis voilà qu'on les fait tuer. Qu'ils se soient défendus, qu'ils aient attaqué, sauvé une vie en échange, voire défait le méchant...qu'est-ce qu'il va se passer ? A quel point en tenir compte ?
A mille différents degrés, et de mille façons différentes peut-être, et on aurait raison de le dire comme ça. Est-ce une facilité que de reléguer systématiquement la question de "tuer" ? Créerait-on un personnage qui ne tuerait pas, dans le cas extrême opposé ?
Tout est possible évidemment, dans l'idée. Mais j'aimerais savoir comment vous avez (ou pas) bûté là dessus en écrivant une telle scène. J'aimerais savoir si un point de non retour est atteint, pour un personnage qui tue.
Si vous pensez que la question de "tuer" est directement liée, dans mon esprit, au fait que j'utilise plus le terme "héros" que personnage, vous pouvez aussi le faire remarquer...