C'est tellement gentil tous ces mercis !!
Sur la contrainte créatrice : je n'ai pas lu les Oulipiens (ça manque à ma culture, je sais, mais leur approche ne me dit pas grand-chose... préjugé ?). Par contre j'écris un peu de poésie, avec une préférence pour la poésie régulière ; et dans ce domaine, je plussoie : la contrainte (de forme) EST créatrice.
Elle est même libératrice (de l'inspiration) parce qu'elle oblige à trouver une solution pour exprimer ce que l'on veut faire passer. Et en fin de compte, à force de retourner les mots dans tous les sens, on arrive à un résultat bien meilleur que si on avait cédé à la facilité, et fait valser les règles par-dessus bord. Ce qui n'est d'ailleurs pas très différent de l'écriture en prose, avec tous les doutes, corrections et remises en question que ça implique.