-> Est ce que si on fait voir les résultats, on pourra voter un mois plus tard ? (une fois que le livres en questions sera acheté et lu) ou est-ce que le fait de faire "voire les résultats" empêche de pouvoir voter ? Je n'ose pas le faire de peur de me bloquer la possibilité de voter.
Ne t'en fais pas, tu peux appuyer sur le bouton et voter plus tard ! Ou jamais, selon ton choix !
-> Est-ce qu'on peut faire des fiches d'auteurs français mais ancien, pour un livre dont on aurait un coup de cœur, même s'il date un peu (1980/1990) ou cette section n'est-elle là que pour les œuvres récentes ? (évidemment, cela reste de la SFFF francaise)
Oui, tu peux. On n'en a pas discuté avec les autres mais ça ne me semble pas poser souci, je ferai passer au cas où.
Prochain roman le 10 juin ! 8848 mètres chez Casterman.
Selsynn a écrit :Bonjour !
J'avais plusieurs questions sur cette rubrique du forum :
-> Est ce que si on fait voir les résultats, on pourra voter un mois plus tard ? (une fois que le livres en questions sera acheté et lu) ou est-ce que le fait de faire "voire les résultats" empêche de pouvoir voter ? Je n'ose pas le faire de peur de me bloquer la possibilité de voter.
Tu veux dire que, si tu visualises les résultats du sondage, tu ne pourras plus voter, c'est ça ? Normalement, il n'y a aucun problème pour ce faire. Si jamais tu rencontrais un problème technique, tu peux nous en faire part dans "site web & forum"
-> Est-ce qu'on peut faire des fiches d'auteurs français mais ancien, pour un livre dont on aurait un coup de cœur, même s'il date un peu (1980/1990) ou cette section n'est-elle là que pour les œuvres récentes ? (évidemment, cela reste de la SFFF francaise)
bonjour
je voudrais bien commencer à beta lire un texte mais je me demandais par lesquels il faut commencer ? En effet, certains ont déjà pas mal de beta lecteurs. Y-en a-t-il un nombre limité et comment repérer ceux qui sont les moins lu et qui ont donc besoin de lecteurs ?
Si tu veux bêta-lire les textes selon leur besoin, il y a possibilité de regarder le nombre de pages des fils. Ça donne une idée du nombre d'échanges qu'il y a eu sur un texte. Même si avec les différentes versions et les différents extraits, le calcul est plus compliqué.
En plus de cela, je te conseille aussi de jeter un coup d'œil à la date de la dernière réponse du fil... pour éviter de bêta-lire un texte qui après avoir été travaillé a été laissé à l'abandon et sur lequel tu n'auras pas de retour.
Mais avant tout bêta-lis ce qui te fait plaisir !
ıllıllı Cyclitse ıllıllı
"Aux amres ! diuex et dmei-deiux !
Abtatnos ctete tyarnine,
Ce régmie set fsatideiux !
Puls ed necatr, puls d'abmriosie !" Oprhée uax efners
Cela fait depuis plusieurs mois que je me renseigne sur le monde de l'édition, ainsi que de l'auto-édition. J'en suis venu à la conclusion que : l'édition traditionnelle, c'est bouché ; l'auto-édition, c'est compliqué.
L'auto-édition, tout seul, c'est en effet complexe, c'est mal vu, cela demande du temps, de l'argent, de l'énergie... OUI MAIS quand on est seul ! A plusieurs, en mutualisant les moyens et en faisant preuve de solidarité entre nouveaux auteurs, il y a peut-être moyen de s'en sortir.
Mon idée, la voici : faire évoluer les missions de l'association des Cocyclics en une maison d'édition indépendante.
On peut, a priori, demeurer une association à but non lucratif, et donc non sujet aux impôts, si l'objectif est uniquement de promouvoir de nouveaux auteurs en les éditant, et non les rémunérer (si ce n'est par la joie de se faire éditer et lire par un cercle plus élargi que celui de sa famille). Les recettes ne serviraient qu'à l'investissement (nouvelles impressions, déplacements sur les salons, etc.)
Je sais que, pour un auteur, se faire éditer sans être rémunéré peut faire tiquer, mais c'est le seul moyen que j'ai trouvé pour demeurer une association, et non une société commerciale. Toutefois je peux me tromper, n'étant pas un expert en Droit. J'en suis venu à cette conclusion en glanant divers articles sur le web.
Pas de rémunération pour l'auteur, mais la possibilité de se faire éditer, de se faire une expérience, mieux vendre son roman auprès des éditeurs, etc.
On peut aussi se contenter de publier des ebooks, qui coûtent moins cher et font de plus en plus d'adeptes. Et quand les caisses sont remplies, envisager de publier en version papier. Ce peut être une méthode pour commencer sans trop casser la tirelire. Et évidemment, quand un auteur a fini par se trouver un éditeur, on cesse de le publier.
Je lance cette idée. Elle fera peut-être un gros plouf dans la mare, mais après tout, pourquoi pas ?
La Terre des centaures, 1er tome du "Cycle des centaures". En ebook, aux éditions Booxmaker.
En savoir plus : www.paul-a-garance.fr
Le soucis c'est que le travail d'éditeur ou d'édition n'est pas celui de cocyclics et cocyclics ne se substitue pas à une maison d'édition.
Je pense que les grenouilles permanentes t'expliqueront cela mieux que je ne saurais le faire.
Ceci dit, les choses ne sont pas bouchées : de jeunes auteurs se font publier, les appels à textes sont nombreux et variés, l'édition évolue, il y a pas mal de fanzines, de webzines et il faut se battre pour voir ses textes accéder à la publication. En somme, j'ai pas l'impression que c'est plus dur qu'avant.
Par contre, et je pense qu'on a tout lieu de s'en réjouir, il y a de plus en plus d'auteurs débutants qui se lancent dans l'aventure car, à l'ère du numérique, cela devient plus accessible.
Du coup : du travail, du travail, du travail et encore du travail ! Les récompenses suivront.
Mon idée, la voici : faire évoluer les missions de l'association des Cocyclics en une maison d'édition indépendante.
Je t'arrête tout de suite : il a été entendu dès le départ de CoCyclics que nous ne serions jamais une maison d'édition, sous quelque forme que ce soit. Non seulement parce que nous sommes bénévoles ici et que nous consacrons déjà assez de temps ainsi à CoCyclics, mais également parce que nous désirons garder notre neutralité vis-à-vis du monde SFFF. Nous désirons avant tout aider les auteurs, leur donner suffisamment de conseils et d'opportunités pour qu'ils se familiarisent avec le monde SFFF et ce quel que soit leur projet. Après, si elles veulent se lancer dans le monde de l'édition - et nous avons vu le départ brillant de certaines - nous leur offrons aussi des sections qui sont plus confidentielles, pour leur apporter notre humble soutien.
Mais nous ne franchirons pas le pas qui mène vers la maison d'édition.
Des petits éditeurs qui sont sous forme d'association, ça existe déjà. Mais ça ne change rien vis-à-vis des auteurs ; ils sélectionnent les textes qu'ils reçoivent avec un comité de lecture...
Je ne peux qu'approuver Blackwatch : Paul, tu n'es pas le premier à évoquer cette idée et notre réponse a toujours été négative.
Les micro-maisons d'édition, il y en a déjà beaucoup dans le paysage de l'imaginaire, mais CoCyclics est à peu près unique dans le monde de la SFFF. Unique par son fonctionnement, le nombre de ses membres et les liens que nous avons su tisser avec le monde de l'édition.
Si nous devenions éditeurs, nous risquerions de perdre tout cela. Or nous pensons que nous aidons mieux les auteurs en restant un site d'échange et de travail, neutre vis-à-vis des éditeurs.
CoCyclics, c'est la bêta-lecture par l'entraide. Tout le reste en procède.
Si nous devions sélectionner des romans à publier, nous gâcherions tout cela.
Paul.art.bear a écrit :l'édition traditionnelle, c'est bouché
Non, c'est beaucoup d'appelés et peu d'élus, mais ce n'est pas bouché. Nous le voyons bien sur la mare, puisque personne n'était publié en 2006 (je crois) et que nous sommes maintenant près d'une dizaine. Et il y en aura d'autres...
Site officiel Bragelonne : Le 7ème Guerrier-Mage / Calame T1 Castelmore : Le jour où... / 14-14 / Un ogre en cavale / Lune rousse Rageot : Le club des chasseurs de fantômes 1 et 2
Edit : Beorn a répondu entre-temps mais je poste quand même
Je rajoute mon grain de sel : comme le dit Blackwatch, CoCyclics ne sera jamais une maison d'édition indépendante. Ce n'est pas notre but et nous ne trouvons pas cette idée judicieuse : il y a énormément d'initiatives dans ce sens, dont la plupart malheureusement n'ont pas une durée de vie très longue, comme nous pouvons régulièrement le constater.
De plus, le secteur n'est pas bouché, au contraire : il y a trop de livres qui sortent et les lecteurs ne savent plus où donner de la tête (Aller au salon du livre de Paris par exemple, ça donne le tournis). Les gens écrivent de plus en plus et veulent pour la majorité être publiés, le problème, c'est qu'il a trop d'aspirants auteurs pour trop peu de lecteurs. Les éditeurs sont des professionnels qui sélectionnent les livres qu'ils estiment bons et capables de promouvoir/vendre. Nous ne sommes pas des professionnels de l'édition, nous sommes là pour que les jeunes auteurs aient une plateforme leur permettant d'échanger des informations, de se soutenir et de s'améliorer. Peu à peu, en discutant, en échangeant et en utilisant les outils que nous mettons à leur disposition (GGG, sections privées du forum, etc.), ils apprennent à cibler leurs soumissions, à travailler leur synopsis, à professionnaliser leur lettre de motivation, en plus de travailler leurs textes.
Nous ne voulons pas que tous les auteurs soient publiés à tout prix. Nous avons envie de voir publiés de bons textes de SFFF francophone. Et la balle est dans le camps des éditeurs (en tout cas, cette balle-là).
"Hâte-toi, hâte toi de transmettre ta part de merveilleux, de rébellion, de bienfaisance. " René Char
OK OK OK... Désolé si la question avait déjà été soulevée. La mare est si bouillonnante d'activités que je ne suis pas au courant de tout ce qui s'est déjà dit. Je comprend tout à fait vos arguments et n'y reviendrai plus.
Il ne me reste plus qu'à travailler, encore et encore...
La Terre des centaures, 1er tome du "Cycle des centaures". En ebook, aux éditions Booxmaker.
En savoir plus : www.paul-a-garance.fr
C'est dommage que le fil où la question avait été évoqué ait disparu.
En tout cas, comme mes collègues, j'appuie dans le même sens : notre vocation ne change pas, nous ne passerons pas du côté éditorial de la force.
Syven a écrit :nous ne passerons pas du côté éditorial de la force.
Et le fait que tu sois notre mère, Syven, ne changera rien à l'affaire !
Blague à part, bien que récent dans la mare, je comprend et soutient cette volonté de ne pas mélanger les genres, de ne pas être juge et parti.
Pour avoir participé à l'appel à texte "Destination Univers" cet été, travaillé avec les grenouilles, rencontré les anthologistes aux Utopiales (voir l'article de Tintamare), je suis conforté dans cette idée qu'un partenariat aussi interessant, constructif, formateur... n'est possible que si les deux partenaires gardent des rôles bien définis, différents et complémentaires.
Même si nous, grenouilles, rêvont toutes d'être un jour publiées, nous savons que nous sommes dans la mare d'abord pour améliorer nos textes. La publication c'est la cerise sur le gâteau.
Si j'osais une comparaison, je dirais que la vocation de cocyclics est de faire travailler les architectes pour qu'ils aient les meilleurs plans possibles, pas de construire la maison.