).
Là, il faudra qu'ils t'expliquent pourquoi ils n'acceptent pas de te publier sous pseudo, alors que c'est la moindre des choses !Luani a écrit :Bon, c'était la décision initiale... Les éditeurs de nouvelle n'y mettent pas du leur, en utilisant mon vrai nom dans leurs listes d'auteurs choisis aux AT. Google est mon ennemi...
C'est hors sujet, mais moi je suis archi fan de ton prénompingu a écrit :Comme Iluinar, j'ai commencé sous "mon vrai nom" (c'est-à-dire celui que je n'ai pas choisi, ni nom de famille ni prénom, mais c'est celui-là qu'on appelle conventionnellement "mon vrai"
Comme d'autres, je n'aime ni mon nom de famille (ah, les "camarades" d'école ça vous traumatise plus d'un milliard de gamins), ni mon prénom.
Mais bon, comme j'ai commencé avec eux, je continue avec, du moins pour le moment.
Cependant le problème se pose effectivement des relations (notamment familiales) qui peuvent tomber sur des textes sans avoir à savoir que j'en suis l'auteur (ça biaise la lecture et, surtout, ça peut influer sur le regard ensuite - j'aborde des sujets pas toujours mignonets) + relations de travail non littéraire selon le travail.
Avant d'être publiée, je m'étais posé la question d'un pseudo. Je pense que j'aurai dû poursuivre la réflexion (et la recherche d'un nom de plume convenable) au lieu de me laisser entraîner (par personne en particulier, par les événements, par la flemme...) à signer de l'autre.
A noter que si, dans la vie courante, je n'ai pas changé d'avis ni de sentiment face à mon nom-prénom d'état civil, en tant que nom d'auteur, comme je le considère désormais plus comme "une marque à défendre" que "mon nom", je m'y habitue (je ne le regarde pas pareil, et donc il résonne différemment en moi).
+ 1Roanne a écrit :Moi aussi !
Ce n'est pas qu'ils veulent pas, c'est juste des successions d'erreurs.Là, il faudra qu'ils t'expliquent pourquoi ils n'acceptent pas de te publier sous pseudo, alors que c'est la moindre des choses !Luani a écrit:
Bon, c'était la décision initiale... Les éditeurs de nouvelle n'y mettent pas du leur, en utilisant mon vrai nom dans leurs listes d'auteurs choisis aux AT. Google est mon ennemi...
J'ai eu le cas plusieurs fois, à devoir courir après le webmaster pour qu'il mette mon pseudo et pas mon nom sur le site web. C'est très pénible et je comprends que tu aies du laisser tomber, l'effet boule de neige pouvant devenir ingérable.Luani a écrit : Ce n'est pas qu'ils veulent pas, c'est juste des successions d'erreurs.
C'est ce que je ferais le jour ou j'aurais un roman à envoyer dans le vaste monde.Koïnsky a écrit : Depuis ces soucis, je me suis créé un compte mail avec mon pseudo, je signe mes courriers avec mon pseudo, et tant que l'éditeur ne me demande pas mon vrai nom, je ne dis rien.
Et je l'écris en tout petit dans les contrats, avec une mention "ne pas divulguer svp".
Parano ? Qui ça, moi ? *regarde autour de lui, l'air inquiet*
Logiquement, dans le cas d'un roman, il y a peu de chances que ça se produise quand même. Mais c'est vrai que ce genre de mésaventure est très désagréable, c'est pour ça que je sélectionne beaucoup les endroits où j'envoie des textes.Luani a écrit :C'est ce que je ferais le jour ou j'aurais un roman à envoyer dans le vaste monde.Koïnsky a écrit : Depuis ces soucis, je me suis créé un compte mail avec mon pseudo, je signe mes courriers avec mon pseudo, et tant que l'éditeur ne me demande pas mon vrai nom, je ne dis rien.
Et je l'écris en tout petit dans les contrats, avec une mention "ne pas divulguer svp".
Parano ? Qui ça, moi ? *regarde autour de lui, l'air inquiet*
+1000. Il y a des gens formidables de professionnalisme en micro-édition et fanzines et aussi webzines, que ce soit pour le respect de l'auteur et ses droits (y compris le droit à utiliser un pseudo, pour rester dans le sujet), mais aussi les corrections éditoriales, etc.tigrette a écrit :Même dans la micro édition et les fanzines, il y a des gens bien plus sérieux que d'autres.
