Cf mon lien plus hauttomate a écrit :Pour en revenir à nos moutons, je viens de me rappeler un petit site intéressant sur le sujet, pour les anglophones:
http://tvtropes.org/pmwiki/pmwiki.php/M ... edMorality
(même site, article différent)
Cf mon lien plus hauttomate a écrit :Pour en revenir à nos moutons, je viens de me rappeler un petit site intéressant sur le sujet, pour les anglophones:
http://tvtropes.org/pmwiki/pmwiki.php/M ... edMorality
Décidément, personne ne te litCrazy a écrit :Cf mon lien plus hauttomate a écrit :Pour en revenir à nos moutons, je viens de me rappeler un petit site intéressant sur le sujet, pour les anglophones:
http://tvtropes.org/pmwiki/pmwiki.php/M ... edMorality
(même site, article différent)
Story of my lifeXavier a écrit :Décidément, personne ne te lit
Avec TVTropes, c'est plus d'une soirée que tu occuperas. C'est un site dangereusement addictif.Xavier a écrit :J'ai vu que c'était deux fois le même site, résultat j'ai un peu regardé ce qu'il y avait d'autres comme pages et je me le suis bien mis au chaud pour mes longues soirées d'hiver.
J'ai le "problème" avec une nouvelle (qui traîne encore dans le Port, du coup) : Mon narrateur étant un égoïste irresponsable (et télépathe), je me retrouve avec des lecteurs qui le trouvent sympathique (alors qu'il utilise ses pouvoirs pour mettre des filles dans son lit) et qui trouvent cruel et insensible son pauvre père qui aurait voulu le ramener dans le droit chemin...YeuxVerts a écrit :le narrateur ajoute sa couche d'interprétation sur la façon dont il narre l'histoire. Si sa propre moralité est en concordance avec les actes qu'il décrit, alors le lecteur peut avoir l'impression que c'est acceptable
J'ai le "problème" avec une nouvelle (qui traîne encore dans le Port, du coup) : Mon narrateur étant un égoïste irresponsable (et télépathe), je me retrouve avec des lecteurs qui le trouvent sympathique (alors qu'il utilise ses pouvoirs pour mettre des filles dans son lit) et qui trouvent cruel et insensible son pauvre père qui aurait voulu le ramener dans le droit chemin...
Il y a des lecteurs qui ont tendance à croire que si c'est de la fantasy, le héros est forcément sympa, quoi qu'il fasse. J'avais ma nouvelle "Deux ex machina" qui s'appuyait sur ce principe et avait l'air de fonctionner pas mal... Peut-être quelque chose d'intéressant à exploiter d'avantage?Mené adroitement par l'auteur, cela peut mener à des styles de narrations plus intéressants encore.
Je pense que c'est parce qu'il le faisait exprès.Roanne a écrit :Ce qui me parait bizarre, en fait, c'est que personne n'ait encore cité Sade...
DésoléeRoanne a écrit :Crazy, tu ne fais que répéter ce que j'ai dit.
Mouais... le souci étant que tu ne l'as pas lu"Gagner la guerre".
Heureusement que quelqu'un m'a expliqué de quoi ça parle et comment ça se termine, ça m'a évité un achat que j'aurais regretté.
Là on est dans du pur roman immoral, il me semble, pourtant il est juste réaliste...
Eh bien je réponds quand mêmeRoanne a écrit :Sinon, je suis toujours intriguée par les auteurs qui se disent "bons", "gentils", "sains" et qui font pourtant subir des horreurs à leurs personnages... je me demande quand même quelle genre de catharsis forme d'écriture pour vous. Jusqu'à quel point vous êtes détachés ou au contraire impliqués dans vos choix de tortionnaires de papier.
(mais vous n'êtes pas obligés de me répondre)
(non, en fait, je ne veux pas savoir)
C'est le 1er titre qui me soit venu à l'esprit, désolée, il faudrait que j'en trouve d'autres mais ça ne vient pas...Crazy a écrit :Mouais... le souci étant que tu ne l'as pas lu
Merci pour la réponse, celle-ci je me doutais que je l'aurais. C'est tout à fait le genre de discussion que l'on a avec la team de Poitiers.Xavier a écrit :Je crois que ce n'est pas une question de catharsis, mais plus un besoin dû au fait qu'une histoire tourne toujours autour de conflits, et que plus un obstacle paraît insurmontable, plus le héros s'en sort grandi. Je pense au papyrus de Cupcake que je bêta-lis actuellement : on est venu à discuter de la mort d'un personnage uniquement comme d'une pièce narrative (si tu le fais mourir à tel moment ceci, s'il agonise c'est bien parce que cela, s'il se retrouve à l'hosto avant ça casse le rythme, etc.). Il doit en être de même pour les scènes de torture, de viol, de meurtre, etc.
Moi je l'ai lu. Jusqu'à la page 286. Après quoi j'ai laissé tomber, ça n'avait pas l'air parti pour s'améliorer.Crazy a écrit :Mouais... le souci étant que tu ne l'as pas lu"Gagner la guerre".
Heureusement que quelqu'un m'a expliqué de quoi ça parle et comment ça se termine, ça m'a évité un achat que j'aurais regretté.
Là on est dans du pur roman immoral, il me semble, pourtant il est juste réaliste...
Il y a pas mal d'immoralité, effectivement, mais le héros demeure sympathique - et s'en prend quand même plein la gueule au cours de l'histoire
J'ai abandonné la série au moment de la tournante (iiik) et j'ai détesté le héros. Mon esprit romantique n'a pas résistéRoanne a écrit :Sur ce, je quitte vraiment le sujet pour retourner lire un charmant roman dont le 3ème tome s'est terminé sur une tournante, dont le perso masculin principal est du genre pervers narcissique, et qui reste une série que beaucoup de lectrices ressentent comme le summum du romantisme...